Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Alec d'Ayrolles
  • Auteurs: Claude Marsèle

N° 1507 - La veillée des larmes (Claude Marsèle)

3,56 €
Extrait : Les cours venaient de prendre fin, ce matin-là. Jeunes gens et jeunes filles, mêlés, s'égaillèrent dans la cour de l'Ecole des Arts Décoratifs. Il y eut des cris, des appels, des rires. Des groupes se formèrent qui commentèrent avec passion, la dernière leçon. Des isolés se hâtèrent vers la sortie. Des couples se rejoignirent. Au milieu de ce tumulte, deux noms furent lancés…

N° 1489 - Jugée par sa fille (Claude Marsèle)

4,92 €
Extrait : Fabienne Marlens allait et venait, empressée, de la cuisine à la vaste salle à manger, sobrement meublée d'acajou, où Etienne Marlens, assis devant une table soigneusement nappée de blanc, commençait à dîner. La jeune fille avait entendu se substituer à la domestique qui assurant habituellement le service. Ce dîner n'était pas un dîner comme tous les autres. …

N° 1545 - Le gardien du bonheur (Alec D'Ayrolles)

3,74 €
Extrait : Tout ce que l'île comptait de valide - hommes, femmes, enfants ou vieillards - était massé autour de la crique, pour suivre la « compétition » ; c'est dire qu'il n'y avait, pratiquement, personne dans les maisons, car les habitants de Motu-Ahi ne sont pour ainsi dire jamais malades (il n'y a même pas de médecin dans l'île : on en a fait venir un, dans les cas extrêmes, de Papeete) ; ils atteignent facilement un âge biblique, puis, un beau jour, jugeant qu'il serait indiscret d'encombrer plus longtemps la famille de leur inutile personne, ils s'endorment à jamais. Oui, les Motu-Ahiens (c'est ainsi, je pense, qu'il convient de nommer les « naturels » de l'île) vivent vieux, et ils vivent heureux, en profitant de l'éternel printemps du climat polynésien et en se contentant, avec sagesse, des poissons qui viennent tout seuls dans les filets, du gibier qui veut bien se suicider dans les pièges, et les fruits — oranges, bananes, noix de coco et mayorés … — qui poussent en telle abondance qu'il suffit de s'amuser à grimper aux arbres pour en avoir non seulement assez pour son propre ravitaillement mais, même pour en exporter un peu…
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