Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Rosalia Laurence

N° 1905 - La revanche de l'amour (Rosalia Laurence)

3,05 €
Extrait  : Paris apparaissait dans la brume matinale. Le Super-Constellation commença à perdre de la hauteur, les panneaux donnant l'ordre d'attacher les ceintures venaient de s'allumer et les voyageurs obéirent aux lettres lumineuses avec un sourire soulagé, car l'atterrissage était proche. L'hôtesse de l'air s'approcha doucement de Thierry, lui tendant une pochette d'allumettes… — Vous allez ruiner la compagnie, Monsieur Bresson… lui dit la jeune femme, c'est la dixième boîte que je vous donne depuis Karachi ! Thierry leva vers elle le regard amusé de ses yeux gris. — Hé bien, je vous promets de m'acheter un beau briquet si vous acceptez de venir le choisir avec moi… Quand venez-vous dîner au bar du journal, cruelle petite demoiselle ? — Vous avez vraiment de la suite dans les idées, soupira gentiment la jeune fille, et il y a bien longtemps que je me serais fâchée si je ne vous admirais pas tant. Vous savez, j'ai lu tous vos articles. Ils étaient passionnants. Où allez-vous maintenant ?…

N° 1905 - La revanche de l'amour (Rosalia Laurence)

4,50 €
Extrait : Paris apparaissait dans la brume matinale. Le Super-Constellation commença à perdre de la hauteur, les panneaux donnant l'ordre d'attacher les ceintures venaient de s'allumer et les voyageurs obéirent aux lettres lumineuses avec un sourire soulagé, car l'atterrissage était proche. L'hôtesse de l'air s'approcha doucement de Thierry, lui tendant une pochette d'allumettes… — Vous allez ruiner la compagnie, Monsieur Bresson… lui dit la jeune femme, c'est la dixième boîte que je vous donne depuis Karachi ! Thierry leva vers elle le regard amusé de ses yeux gris. — Hé bien, je vous promets de m'acheter un beau briquet si vous acceptez de venir le choisir avec moi… Quand venez-vous dîner au bar du journal, cruelle petite demoiselle ? — Vous avez vraiment de la suite dans les idées, soupira gentiment la jeune fille, et il y a bien longtemps que je me serais fâchée si je ne vous admirais pas tant. Vous savez, j'ai lu tous vos articles. Ils étaient passionnants. Où allez-vous maintenant ?…

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
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