Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Maurice Allan
  • Auteurs: Michel Nour

N° 505 - Je t'adore ! (Michel Nour)

2,92 €
Extrait : Devant la porte du dancing, les deux jeunes gens s'arrêtèrent et Maurice Féraud tendit la main à son ami Raymond Landier. — Tu n'entres pas un instant avec moi ? demanda celui-ci. Voyons, pour une fois, laisse-toi tenter ! Maurice secoua la tête. — Je ne suis nullement tenté, je t'assure. — Tu détestes la danse ! — Je ne la déteste pas, mais je n'éprouve pas comme toi un plaisir de se trémousser comme tu dis, protesta vivement Raymond, il y a aussi celui de tenir dans ses bras une jolie créature qu'emporte l'ivresse du  rythme et qu'on sent contre soi, frémissante, palpitante, offerte comme une fleur qui vous grise de sa beauté et de son parfum…

N° 1638 - Un étrange mariage (Maurice Allan)

4,90 €
Extrait : Dans un grand frémissement de velours et de soie, Mme Trucherie fit une fébrile entrée qu'accompagnait en sourdine - très en sourdine - une discrète odeur de chypre. — Chérie ! s'affolait-elle, mais tu n'as pas encore ton voile ! Et Philippe qui est déjà là ! Il grille d'envie de te voir, le pauvre. Nos invités sont au complet. D'une minute à l'autre, l'oncle François peut arriver. …

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
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