Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Joachim Renez
  • Auteurs: Louise Gravise
  • Auteurs: Rochelle Creed

N° 1520 - Une ombre entre eux (Rochelle Creed)

2,90 €
Extrait : Des cheveux sombres et crêpelés, un beau visage aux traits un peu durs, le bleu des yeux faisant contraste avec les cils noirs, et sur la lèvre une ombre, laissée dans doute à dessein par un rasoir minutieux. La peau a cette douceur trop féminine que donne l'emploi habituel des maquillages, mais elle est dorée parce qu'un certain hâle sied à quelques hommes…

N° 1029 - La torture du délaissé (Joachim Renez)

3,05 €
Extrait : Les orgues entamèrent la marche nuptiale de Lohengrin et les mariés, suivis d'un nombreux cortège, descendirent l'escalier de l'Eglise de la Madeleine, dont les marches, recouvertes d'un immense tapis rouge, furent foulées par une assemblée élégante et aristocratique. La grande porte ouverte permettait aux bavards, assemblés devant les grilles, d'apercevoir les mille lumières des cierges ponctuant d'étoiles la pénombre qui envahissait l'ancien temple de la Victoire. Il était midi et les midinettes de ce quartier, où la grande couture et les modistes en renom tiennent leurs assises, écarquillaient les yeux, admirant et même critiquant avec ce sens aigu de la parisienne, pour le chic et l'élégance, tous ces heureux qui défilaient, papotant et avec des visages de fêtes, suivant les héros de cette cérémonie nuptiale…

N° 1142 - Les amants tragiques (Joachim Renez)

3,05 €
Extrait : Dans la cellule n° 1 un homme est étendu sur sa couche que mouille une sueur d'agonie. Il ne dort pas ; il ne peut dormir. Les bruits vagues de la prison le tiennent en éveil. Ces rumeurs inaccoutumées présagent pour lui la venue de l'aube sinistre où il paiera la dette qu'un assassin doit payer à la société. La loi des hommes est dure ; cette fois elle frappe en aveugle. Tel a été le verdict des jurés. Cet homme a tué ? Il doit mourir ! Cependant, ce condamné n'était pas un homme méchant. Quels furent les mobiles de son crime ? L'amour. Eveillé, celui qui est encore Charles de Meuze ressasse les heures sinistres que depuis des mois il vit. Il écarte de son esprit toute cette agonie et se retrempe aux heures douces où il aimait et était aimé de Lionette…

N° 1888 - L'amour au secret visage (Rochelle Creed)

4,50 €
Extrait : — Bonjour, Héléna, et tous mes voeux de joyeux anniversaire, puisque votre fiche me permet professionnellement d'être indiscret ! Et j'ajouterai, si vous le permettez, paternellement. Trente-quatre ans, c'est l'extrême jeunesse, aux yeux d'un vieux médecin comme moi. Vos dernières radios m'autorisent à vous dire d'excellentes choses : finies toutes les tortures auxquelles vous avez été soumise depuis tant d'années. Plus d'opérations, plus de pneumo. Et, cette fois, aucune récidive possible, puisque les analyses que vient de me faire porter le laboratoire sont négatives. J'ai la joie de rendre au monde normal une saine… et vraiment très jolie femme. Le sourire d'Hélène, répondant aux propos affectueux du docteur Berthier, n'était pas exempt d'une certaine nostalgie. La moitié de sa vie s'était écoulée à lutter contre un péril mortel, dans l'ambiance artificielle et protégée des sanas. Reprendre le contact avec le monde normal, ses drames, ses chocs, demanderait une réadaptation dont il faudrait trouver la force…

N° 1698 - Quand l'amour veut vivre (Louise Gravise)

3,05 €
Extrait : — Le malade est perdu... Jean Lallier redressa sa haute taille, et foudroya du regard son assistant. — Je le sauverai ! Si vous flanchez, Lausac, allez ailleurs ! L'opération était assurément particulièrement délicate. Un massage du coeur avait déjà paré à une première alerte. Le patient était âgé et les réactions de l'organisme trop lentes. Le Dr Lallier l'avait prévu. Mais il fallait tenter cette intervention. C'était cela ou la mort inévitable. En toute conscience, il avait choisi. — Le coeur faiblit ! annonça l'anesthésiste, de sa voix calme, impersonnelle, comme perdue dans le silence blanc de la salle. Lallier sentait la sueur lui perler le long des tempes et tomber goutte à goutte dans son col, dans son masque… Un flot de sang jaillit d'une veine qui venait de céder sous une pince. Lallier leva les yeux et surprit un sourire narquois sur le visage de l'interne ; un jeune homme qui croyait tout savoir et se targuait de faire des diagnostics infaillibles…
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