Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Léo Gestelys
  • Auteurs: Pierre Montanay

N° 1269 - La vie cruelle (Léo Gestelys)

3,56 €
Extrait : D'un pas alerte, Edouard de Fontelles montait le boulevard Saint-Michel, le « Boul' Mich' », comme il avait coutume de dire à l'époque pas très lointaine où sa jeunesse studieuse s'écoulait devant cet horizon borné dont la Faculté de Médecine et celle de Droit semblent être les pôles tandis que l'austère Sorbonne en demeure le coeur. …

N° 1224 - La découverte de l'amour (Léo Gestelys)

3,05 €
Extrait : — Je vous remercie, ma chère nièce, d'avoir pris la peine de venir me chercher dans ma retraite et de m'avoir proposé ce moyen de locomotion incontestablement pratique lorsque le temps presse. Non que j'éprouve un réel penchant pour ces dangereuses mécaniques. Au moins, vous me répondez de votre chauffeur ? Il ne se livrera pas à des excès de vitesse ? — Mais non, ma bonne tante, une honnête soixante à l'heure. — Je préfèrerais du vingt ou du vingt-deux, ce que faisait, dans sa jeunesse, la superbe jument alezane de mon regretté père. — Je vous assure, ma tante, Robert est la prudence même ; jamais il ne lui est arrivé le plus petit accident ; mais je ne vois pas Sylvie, ses préparatifs ne sont donc pas encore terminés ? — Ses préparatifs ? Voudriez-vous insinuer que Sylvie puisse être du voyage ? — Il me semblait que vous ne vous sépariez jamais de votre jeune pupille…

N° 1226 - L'injustice d'un père (Pierre Montanay)

3,05 €
Extrait : Sous le feuillage épais d'un tilleul centenaire, quatre personnages sont mollement étendus dans leurs chaises de toile, autour d'une petite table où figurent pêle-mêle le café et les liqueurs, les cendriers et la boîte de cigares. La chaleur intense de cette fin de juillet semble accabler ces deux couples de jeunes mariés qui somnolent à demi. L'heure sonne au clocher proche et fait tressauter Alain Givre. — Déjà une heure ! s'écrie-t-il, en se redressant… Ah ! je resterais volontiers ici… Qu'est-ce que je vais prendre pour aller jusqu'au tram ! Pas un brin d'ombre dans cette fournaise ! — Et pourquoi diable n'achetez-vous pas une auto ? demanda Philippe Belmont ; c'est tellement commode ! Alain sourit en haussant les épaules. — Pour vous, mon cher, qui voyagez par toute la France, je comprends, mais pour moi ?… Un modeste employé s'en allant au bureau en auto ! Je n'ai pas envie de me rendre ridicule…
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