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Fascicules et Revues | Vente de journaux d'occasion

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  • Auteurs: Maurice Bernard
  • Auteurs: Pierre de Saint-Vignan
  • Editeurs: Imprimerie Jos. Jullien (Liège)

N° 230 - Le passé est mort (Maurice Bernard) - Yvonne DE CARLO en couverture

3,50 €
Le passé est mort Roman d'amour inédit par Maurice Bernard Extrait : — Une transfusion est nécessaire immédiatement, dit le professeur Malret, après qu'il eût examiné le blessé qui venait d'être transporté dans sa clinique. Celui-ci avait été trouvé chez lui, baignant dans une mare de sang, le poignet gauche portant la marque d'une entaille profonde par où s'était échappé la vie. Un coup de téléphone avait prévenu le service intéressé de la clinique de l'urgence du transport. Dans le portefeuille du jeune homme on avait trouvé ses papiers d'identité. Il s'appelait Jean Berty, 25 ans, demeurant rue Mercelis, pas très loin de la clinique. Sa carte portait comme profession : peintre. C'est tout ce qu'on savait de lui. Il était là, livide, sur la civière roulante. Aucun signe de vie ne se manifestait en lui. On l'aurait cru mort si les faibles pulsations qui se révélaient encore au pouls n'avaient prouvé le contraire…

N° 238 - Le Mystère des vieux chênes (Pierre De Saint-Vignan) - Barbara STANWYCK en couverture

3,50 €
Le Mystère des vieux chênes Grand roman d'amour et de mystère par Pierre de Saint-Vignan Extrait : Mon cher neveu, Lorsque tu m'as écrit il y a deux ans sollicitant mon appui pour te trouver une situation, je t'ai répondu que vivant très retiré je ne pouvais t'aider. L'emploi de secrétaire étant rempli par mon vieil ami Arthur Rodeige auprès de moi, je ne pouvais songer à te l'offrir. Sa mort m'a privé d'un collaborateur dévoué. Bien que ne t'ayant jamais vu, tu es le fils d'une nièce que j'aimais beaucoup et si tu ne crains pas de t'enterrer dans un pays désertique, je serais heureux de te recevoir sous mon toit avec un appontement honorable. Tes attributions consisteraient à classer mes notes et à taper le texte d'un ouvrage historique que j'écrivais en collaboration avec mon vieil ami. C'est une situation qui te permettrait, comme tu m'en avais fait la suggestion, de continuer à préparer les examens que l'imprévoyance de ton père t'a forcé à abandonner. Je te prie de me donner une réponse rapidement, mon cher neveu, car je n'ai pas de temps à perdre. Ton oncle, Rodolphe Raeder. »
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