Les livres roses pour la jeunesse

Les petits livres roses pour la jeunesse publiés par la Librairie Larousse, est une collection de 719 numéros commencée en 1909. Il paraît deux volumes par mois - 1er et 3e samedis -. Chaque livre est illustré « à profusion de charmantes gravures originales » . La publication prend fin en 1939.

Les livres roses pour la jeunesse - Librairie Larousse - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Capitaine Poidloue
  • Auteurs: Daniel Defoe

N° 224 - Le capitaine du « Lanvéoc » par le Capitaine de vaisseau Poidloue

8,00 €
12 Gravures Extrait : LE DÉPART DE CHERBOURG - Ce soir-là le capitaine Kerfabiec fumait tranquillement sa pipe dans son petit jardin. Il habitait une coquette maison dans un village situé sur la côte de Bretagne, et il s'y reposait de temps en temps de ses voyages au long cours. En sa qualité de capitaine de commerce, il allait porter des marchandises enterre lointaine sur son vapeur, la Marie-Rose . Et il rapportait les produits les plus variés : soies du Japon, coton d'Amérique, chevaux de l'Argentine, blé du Canada ou de Russie, boeufs de Madagascar, etc. C'est dire qu'il allait dans tous les ports du monde. Aussi, quels beaux récits il faisait à ses deux jeunes fils, Charles et Jacques, et à leur mère, quand il se trouvait dansa petite maison de Bretagne, comme ce soir-là, au milieu de sa chère famille…

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…
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