Les livres roses pour la jeunesse

Les petits livres roses pour la jeunesse publiés par la Librairie Larousse, est une collection de 719 numéros commencée en 1909. Il paraît deux volumes par mois - 1er et 3e samedis -. Chaque livre est illustré « à profusion de charmantes gravures originales » . La publication prend fin en 1939.

Les livres roses pour la jeunesse - Librairie Larousse - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Henriette-Suzanne Brès
  • Auteurs: L. Veil

N° 166 - Les oeufs d'or de la guerre (Henriette-Suzanne Brès)

9,90 €
14 gravures Extrait : Dans la petite ville de X…, la foire finissait et la nuit approchait, dispersant la foule que le grand rendez-vous d'été avait plus que jamais attirée. Crac ! fit une grosse porte sur la place. C'était celle des bureaux de la Perception, où, depuis le matin, les gens du pays apportaient leurs pièces d'or : les marchands et marchandes, dans leurs sacoches de toile, les fermiers et fermières dans leurs « bas de laine » les messieurs dans leurs goussets, les dames dans leurs réticules…, vieux et jeunes et même des enfants étaient à la file. A chacun, on avait donné des billets de banque en échange puis un reçu indiquant la somme déposée, depuis 5 francs, la toute petite pièce d'or, jusqu'à mille et mille pièces de diverses valeurs.

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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