Les livres roses pour la jeunesse

Les petits livres roses pour la jeunesse publiés par la Librairie Larousse, est une collection de 719 numéros commencée en 1909. Il paraît deux volumes par mois - 1er et 3e samedis -. Chaque livre est illustré « à profusion de charmantes gravures originales » . La publication prend fin en 1939.

Les livres roses pour la jeunesse - Librairie Larousse - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Alex Coutet
  • Auteurs: Jean Hesse

N° 188 - La poudrerie de Rottweil (Alex Coutet)

9,90 €
10 Gravures Extrait : « Je parie, monsieur, que vous avez reçu des nouvelles de France ?… — Oui, ma bonne Martha, tu le vois, je travaille à les traduire. » Penché sur un journal allemand, sur la huitième page consacrée tout entière à la publicité, la plume à la main, ce Français égaré en pleine Allemagne, pour y remplir sa mission, déchiffrait, au milieu du texte d'une annonce, en apparence anodine, les caractères convenus, qui constituaient sa correspondance avec les siens. De temps à autre, ainsi, par l'intermédiaire d'une succursale de Bâle, de Berne ou de Zurich, les agences de publicité Rudolph Mosse ou Haasenstein et Vogler transmettaient inconsciemment, aux journaux le Berliner Tageblatt ou la Koelnishe Zeitung , un texte d'annonce commerciale quelconque, dont les mots, les lettres, par une disposition spéciale, formaient d'autres mots, d'autres phrases qui avaient un sens caché…

N° 704 - L'inventeur des allumettes (Jean Hesse, Henri Pellier)

5,90 €
Extrait : I - Quatre amis de collège Au collège de Dôle, parmi les plus grands, quatre amis se retrouvaient groupés, soit en classe, soit dans leurs jeux ou leurs promenades : Charles Sauria, Juditte Grévy, Fritz Kammerer et Léon Grincheux. Fritz était un jeune Allemand venu en France pour y étudier notre langue. Il était désireux de s'instruire, et ne manquait aucune occasion d'augmenter son bagage littéraire ou scientifique. Quant à celui qu'on nommait Grincheux, c'était un surnom, mais qui lui allait si bien qu'on ne l'appelait jamais autrement. Il avait pourtant de bons yeux et un petit nez en trompette qui prêtait à rire, et il était heureux chaque fois qu'il pouvait rendre service, mais toujours il se plaignait et grognait. Il avait une fâcheuse disposition à voir les choses du mauvais côté. Ses camarades avaient fini par s'en amuser et par lui donner ce surnom de Grincheux. Si Léon Grincheux se plaignait toujours, Fritz était rêveur et silencieux. Seuls Charles Sauria et Juditte Grévy aimaient échanger leurs idées et leurs projets d'avenir. Mais tandis que Juditte Grévy recherchait dans les livres les belles phrases et les discours, Charles Sauria ne s'occupait que de science, d'expériences et surtout de chimie…

N° 627 - La poupée de caoutchouc (Jean Hesse, Henri Pellier)

4,90 €
Extrait : En rentrant de son cours de chimie, André fut très étonné de trouver dans la cuisine sa mère et sa soeur en train de confectionner une superbe galette. Et dans la salle à manger le grand couvert était mis avec des fleurs sur la table et une bouteille de champagne sur le buffet. « Quel est le convive pour lequel on met ainsi les petits plats dans les grands ? demande André intrigué. — Ce convive, c'est toi ! » s'écrie en riant Madeleine, la soeur d'André. Et sa mère embrassant son fils, lui explique : « C'est fête aujourd'hui, mon cher André, parce que c'est le jour de tes quinze ans…

N° 204 - Le trésor du tirailleur (Alex Coutet)

2,90 €
12 Gravures Extrait : UNE VISITE SINGULIÈRE C'est un tout petit hameau sur la route de Gand. Les Allemands y étaient déjà passés, mais au galop des chevaux de uhlans. Des français les avaient précédés, et les cavaliers ennemis semblaient lancés à leur poursuite. Où en était-on exactement, voilà qui était difficile à apprécier pour une jeune fille de seize ans, comme Gudule Vogelaert, qui, seule avec sa grand-mère, dans sa maisonnette du hameau de Sainte-Catherine, voyait passer depuis trois semaines, tantôt des soldats belges, chassés de Bruxelles par les Prussiens, tantôt des Français, ces fiers fusiliers marins, s'avançant hardiment à la rencontre de l'envahisseur, tantôt des coloniaux d'Afrique, insouciants du danger, allant toujours de l'avant, tantôt enfin des fantassins britanniques, venant on ne sait d'où et semblant battre en retraite. La retraite, voilà ce qui apparaissait de plus clair à la jeune Belge, car, successivement, fusiliers, coloniaux, guide du Limbourd, étaient repassés par le hameau et gagnaient en toute hâte la Flandre occidentale…
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