Les livres roses pour la jeunesse

Les petits livres roses pour la jeunesse publiés par la Librairie Larousse, est une collection de 719 numéros commencée en 1909. Il paraît deux volumes par mois - 1er et 3e samedis -. Chaque livre est illustré « à profusion de charmantes gravures originales » . La publication prend fin en 1939.

Les livres roses pour la jeunesse - Librairie Larousse - Livres d'occasion

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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Louis Dorey
Le petit prisonnier (Louis Dorey) - Les livres roses pour la jeunesse N° 228
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N° 228 - Le petit prisonnier (Louis Dorey)

9,90 €
12 Gravures Extrait : Joseph Chryset Prisonnier de Guerre à onze ans I - LA REVUE DES BRANDEBOURGEOIS Un matin du mois d'août 1914, par les rues du bourg picard, une vingtaine de uhlans trottaient la lance en main. De leurs brebis rousses sortaient des commandements rauques. « Rentez chez vous ! Ouvrez les portes ! Fermez les fenêtres ! » Et les pointes des lances venaient piquer les vieilles gens qui ne se garaient pas assez vite. Les Saxons suivaient les uhlans, et ceux-là pillaient méthodiquement : lard, poulets, brebis, tout leur était bon. Des caves bourgeoises les officiers se faisaient apporter les grands crus de Bourgogne et de Bordeaux. Le gros vin et le cidre picard suffisaient pour les hommes. Le pays épuisé, les régiments allemands passèrent sans s'arrêter. « Nach Paris ! Nach Paris ! » (à Paris ! à Paris !). Et le flot coulait comme une source intarissable…

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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