Journaux - Brochures

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  • Auteurs: Alex Coutet
  • Auteurs: Henri Pellier
  • Auteurs: Marthe Rochenor

N° 223 - La jeune infirmière (Henri Pellier)

8,00 €
12 Gravures Extrait : Date mémorable et terrible que celle du 2 août 1914. Ce jour-là, dans toute la France, se répandait la nouvelle de la guerre avec l'Allemagne. Nous étions provoqués et la Belgique allait être envahie. L'heure de la diplomatie avait vite passé. Et voilà que déjà sonnait celle de l'action, celle de la résistance armée où chacun devait faire son devoir et se préparer aux plus grands sacrifices. Que de tragédies sublimes se jouèrent ce jour-là, et qu'il y eut de noble dévouement et d'admirables héroïsme dans un simple sourire, dans un regard où se cachaient les larmes, dans un bout de dialogue où l'on dissimulait le déchirement du coeur sous une phrase alerte ! Les Françaises furent vraiment à la hauteur de leur tâche. Elle avaient à souffrir dans leurs plus chères affections, et il leur fallait encore dissimuler leur douleur et leurs craintes pour ne pas attrister ceux qui allaient se battre…

N° 188 - La poudrerie de Rottweil (Alex Coutet)

9,90 €
10 Gravures Extrait : « Je parie, monsieur, que vous avez reçu des nouvelles de France ?… — Oui, ma bonne Martha, tu le vois, je travaille à les traduire. » Penché sur un journal allemand, sur la huitième page consacrée tout entière à la publicité, la plume à la main, ce Français égaré en pleine Allemagne, pour y remplir sa mission, déchiffrait, au milieu du texte d'une annonce, en apparence anodine, les caractères convenus, qui constituaient sa correspondance avec les siens. De temps à autre, ainsi, par l'intermédiaire d'une succursale de Bâle, de Berne ou de Zurich, les agences de publicité Rudolph Mosse ou Haasenstein et Vogler transmettaient inconsciemment, aux journaux le Berliner Tageblatt ou la Koelnishe Zeitung , un texte d'annonce commerciale quelconque, dont les mots, les lettres, par une disposition spéciale, formaient d'autres mots, d'autres phrases qui avaient un sens caché…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,95 €
Extrait : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…

N° 525 - A Madagascar (Henri Pellier)

4,45 €
Extrait : Autour de la reine, les dames d'honneur riaient et bavardaient, regardant des robes qui venaient d'arriver dans une grande caisse, et essayant des chapeaux. Tout à coup, la reine s'écrie en frappant dans ses mains : « Marina, apporte le jeu de loto ! » Quand la reine était fatiguée de contempler des toilettes et d'essayer des chapeaux, elle jouait aux dames et au loto ; ce dernier jeu lui plaisait surtout comme étant le moins compliqué. Marina qui a la confiance de la reine, est une jeune esclave. Nous sommes à Madagascar, en 1895, et, à cette époque, dans la grande île, l'esclavage n'avait pas encore été aboli. Mais il y avait à Madagascar, toute une catégorie d'esclaves appartenant à la Couronne et qui jouissaient d'avantages particuliers, même d'une certaine considération.

N° 704 - L'inventeur des allumettes (Jean Hesse, Henri Pellier)

5,90 €
Extrait : I - Quatre amis de collège Au collège de Dôle, parmi les plus grands, quatre amis se retrouvaient groupés, soit en classe, soit dans leurs jeux ou leurs promenades : Charles Sauria, Juditte Grévy, Fritz Kammerer et Léon Grincheux. Fritz était un jeune Allemand venu en France pour y étudier notre langue. Il était désireux de s'instruire, et ne manquait aucune occasion d'augmenter son bagage littéraire ou scientifique. Quant à celui qu'on nommait Grincheux, c'était un surnom, mais qui lui allait si bien qu'on ne l'appelait jamais autrement. Il avait pourtant de bons yeux et un petit nez en trompette qui prêtait à rire, et il était heureux chaque fois qu'il pouvait rendre service, mais toujours il se plaignait et grognait. Il avait une fâcheuse disposition à voir les choses du mauvais côté. Ses camarades avaient fini par s'en amuser et par lui donner ce surnom de Grincheux. Si Léon Grincheux se plaignait toujours, Fritz était rêveur et silencieux. Seuls Charles Sauria et Juditte Grévy aimaient échanger leurs idées et leurs projets d'avenir. Mais tandis que Juditte Grévy recherchait dans les livres les belles phrases et les discours, Charles Sauria ne s'occupait que de science, d'expériences et surtout de chimie…

N° 627 - La poupée de caoutchouc (Jean Hesse, Henri Pellier)

4,90 €
Extrait : En rentrant de son cours de chimie, André fut très étonné de trouver dans la cuisine sa mère et sa soeur en train de confectionner une superbe galette. Et dans la salle à manger le grand couvert était mis avec des fleurs sur la table et une bouteille de champagne sur le buffet. « Quel est le convive pour lequel on met ainsi les petits plats dans les grands ? demande André intrigué. — Ce convive, c'est toi ! » s'écrie en riant Madeleine, la soeur d'André. Et sa mère embrassant son fils, lui explique : « C'est fête aujourd'hui, mon cher André, parce que c'est le jour de tes quinze ans…

N° 551 - Walter Scott à Paris (Henri Pellier)

3,50 €
Extrait : I - LA PERLE DES ONCLES « Comment me trouvez-vous ? » demande une voix joyeuse. Et une fillette, gracieuse et souriante, s'avance en sautillant dans la grande pièce où Adrien Boucart et son neveu Jean examinaient une pièce de drap. « Tu est belle comme l'image d'un conte de fées, » dit Jean à sa soeur. Pour ce compliment la fillette fait une révérence qui prouve son habitude à se trouver dans un monde où l'on sait saluer. Thérère Boucart, qui venait d'avoir quatorze ans, était employée chez une célèbre fleuriste de la rue Saint-Honoré, dont l'enseigne « Au Fleurs de Lis » était bien connue. On était en 1828. Charles X était roi de France, et c'était « Aux Fleurs de Lis » que la cour confiait la décoration de ses salons les jours de réception. « Alors, vous me trouvez bien ? » insiste Thérèse en exécutant trois petits tours qui font bouffer sa robe blanche ornée d'une large ceinture rose, et agitait les boucles blondes de ses cheveux qui encadrent le plus charmant des visages…

N° 204 - Le trésor du tirailleur (Alex Coutet)

2,90 €
12 Gravures Extrait : UNE VISITE SINGULIÈRE C'est un tout petit hameau sur la route de Gand. Les Allemands y étaient déjà passés, mais au galop des chevaux de uhlans. Des français les avaient précédés, et les cavaliers ennemis semblaient lancés à leur poursuite. Où en était-on exactement, voilà qui était difficile à apprécier pour une jeune fille de seize ans, comme Gudule Vogelaert, qui, seule avec sa grand-mère, dans sa maisonnette du hameau de Sainte-Catherine, voyait passer depuis trois semaines, tantôt des soldats belges, chassés de Bruxelles par les Prussiens, tantôt des Français, ces fiers fusiliers marins, s'avançant hardiment à la rencontre de l'envahisseur, tantôt des coloniaux d'Afrique, insouciants du danger, allant toujours de l'avant, tantôt enfin des fantassins britanniques, venant on ne sait d'où et semblant battre en retraite. La retraite, voilà ce qui apparaissait de plus clair à la jeune Belge, car, successivement, fusiliers, coloniaux, guide du Limbourd, étaient repassés par le hameau et gagnaient en toute hâte la Flandre occidentale…

N° 527 - En Indochine (Henri Pellier)

4,20 €
Extrait  : I - UNE FAMILLE D'EXPLORATEURS Quand Jean et Francis étaient tout jeunes, une de leurs grandes joies était de se faire raconter, par leur père, des histoires d'Indochine. C'était, pour eux, plus beau que des contes de fées. D'abord, dans ces histoires-là, il était toujours question de la famille. On leur disait les aventures de leur aïeul Alexandre Duvernier, qui s'était embarqué, en 1789, pour la Cochinchine, ou bien les exploits de leur grand oncle Louis Duvernier, qui avait combattu, au Tonkin sous les ordres du lieutenant de vaisseau Francis Garnier et du commandant Rivière. Puis Jean et Francis pouvaient poser des questions à celui qui leur faisait tous ces beaux récits, car leur père, Robert Duvernier, passait huit mois de l'année dans ses domaines du Tonkin, sur le bord du fleuve Rouge. Il était même ravi de voir ses deux fils s'intéresser à ces souvenirs d'ancêtres et à ces récits d'aventures coloniales, car Robert Duvernier appartenait à une famille d'explorateurs, et il espérait bien que ses deux garçons continueraient la tradition…

N° 127 - Les étoiles (Mlle L. Masse) - Histoire de moustique (Marthe Rochenor)

14,00 €
16 Gravures Introduction  : « Maman, pourquoi les étoiles ne tombent-elles pas ? On les attache tous les soirs ? dis. Où vont-elles le matin ? » ajouta le gentil petit enfant qui s'intéressait à tout. Nous pensons que vous tous avez posé ces mêmes questions à vos chers Parents, qui vous ont répondu que chaque petite étoile brillante est en réalité un grand soleil et que, si elles paraissent toutes si petites, c'est qu'elles sont très, très loin d'ici. Autrefois, il y a longtemps, les gens n'étaient pas aussi savants que maintenant et les grandes personnes en savaient moins que bien des petits garçons et des petites filles de notre époque, et la plupart ignoraient ce qu'étaient les étoiles. Ils s'imaginaient toutes sortes de choses, et comme rien ne leur semblait plus beau que les astres brillant dans le ciel, ils leur donnaient le nom de leurs héros et héroïnes. La nuit venue, les étoiles apparaissaient et ces braves gens les regardaient en disant : « Tiens, ce soir Orphée joue de la lyre ! Oh ! comme Castor et Pollx brillent ! » Et ils étaient bien contents. Vous savez bien, mes chers enfants, que toutes ces histoires ne sont que des légendes ; mais si vous les lisez, elles vous aideront à vous rappeler le nom des étoiles. Puissent ces contes vous intéresser, tout en sachant que ces dieux, ces déesses, ces princes et ces princesses, ces géants et ces monstres n'ont existé que dans l'imagination de ceux qui ont écrit leurs histoires !
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