Journaux - Brochures

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  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Jeanne Roger-Lévy

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…

N° 137 - Histoire de Gracieuse et Les Aventures d'un Lutin (Jeanne Roger-Lévy)

3,90 €
19 gravures Extrait : Il était une fois, au pays des Ardennes, dans l'est de notre France, un vieux seigneur nommé le comte Bruno. Il avait perdu son excellente femme, et vous pouvez imaginer combien il adorait son fils unique, le jeune Hubert. Il ne pouvait se séparer longtemps de lui ; du reste, Hubert était un très bon fils, aimant beaucoup son père et faisant son bonheur. Toutefois, le vieillard avait toujours quelque inquiétude en pensant aux paroles prononcées par une vieille fée à la naissance de l'enfant, car ces paroles disaient : « Pour ton fils, le bonheur sortira d'un grand malheur. » Et, à force de craindre ce malheur vague, le comte restait anxieux et se demandait comment il pourrait protéger Hubert…
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