Journaux - Brochures

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  • Auteurs: Jeanne-Bénita Azaïs
  • Auteurs: Jeanne Roger-Lévy

N° 137 - Histoire de Gracieuse et Les Aventures d'un Lutin (Jeanne Roger-Lévy)

3,90 €
19 gravures Extrait : Il était une fois, au pays des Ardennes, dans l'est de notre France, un vieux seigneur nommé le comte Bruno. Il avait perdu son excellente femme, et vous pouvez imaginer combien il adorait son fils unique, le jeune Hubert. Il ne pouvait se séparer longtemps de lui ; du reste, Hubert était un très bon fils, aimant beaucoup son père et faisant son bonheur. Toutefois, le vieillard avait toujours quelque inquiétude en pensant aux paroles prononcées par une vieille fée à la naissance de l'enfant, car ces paroles disaient : « Pour ton fils, le bonheur sortira d'un grand malheur. » Et, à force de craindre ce malheur vague, le comte restait anxieux et se demandait comment il pourrait protéger Hubert…

N° 197 - Le mystère du clos-feuillu : 1re partie (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
13 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille Extrai t : « Monsieur Pierre, monsieur Pierre, réveillez-vous,dépêchez-vous… jamais vous ne serez prêt avant le jour ! » Monsieur Pierre, ainsi interpellé, entr'ouvre les yeux, les referme, se retourne brusquement du côté du mur et… se rendort aussitôt. « Allons, Pierre… monsieur Pierre, un peu de courage, reprend Louis, le fils du jardinier ; si vous ne vous décidez pas à vous habiller, je vais aller tout seul lever les pièges et les collets que nous avons posés tous deux, hier au soir, dans le bois. » Cet argument semble décider le dormeur. Il s'étire sous ses draps, bâille avec conviction et saute enfin hors de son lit…

N° 198 - Le mystère du clos-feuillu : Fin (Jeanne-Bénita Azaïs)

9,90 €
11 Gravures Aventures de deux jeunes déportés des environs de Lille. Extrait : Le coeur des deux enfants était si plein de joie en quittant la salle où venait de se débattre leur sort que, sans s'inquiéter de la présence de Franz et de Bertha, qui, comme par hasard, écoutait à la porte, ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre en pleurant de joie. « Assez de simagrées pour aujourd'hui, mauvaise graine ! » dit leur guide, en leur donnant un grand coup de pied pour les séparer. Moitié riant, moitié pleurant, à la pensée de retrouver bientôt leur pays et peut-être leur famille, les deux jeunes garçons regagnèrent la chambre de Pierre, où bientôt Bertha leur apporta un diner plus soigné que d'habitude : les remontrances du président de la commission des neutres avaient porté…
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