Journaux - Brochures

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  • Auteurs: L. Veil
  • Auteurs: Louis Dorey
  • Auteurs: Marthe Rochenor
  • Auteurs: Maurice Farney
Le petit prisonnier (Louis Dorey) - Les livres roses pour la jeunesse N° 228
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N° 228 - Le petit prisonnier (Louis Dorey)

9,90 €
12 Gravures Extrait : Joseph Chryset Prisonnier de Guerre à onze ans I - LA REVUE DES BRANDEBOURGEOIS Un matin du mois d'août 1914, par les rues du bourg picard, une vingtaine de uhlans trottaient la lance en main. De leurs brebis rousses sortaient des commandements rauques. « Rentez chez vous ! Ouvrez les portes ! Fermez les fenêtres ! » Et les pointes des lances venaient piquer les vieilles gens qui ne se garaient pas assez vite. Les Saxons suivaient les uhlans, et ceux-là pillaient méthodiquement : lard, poulets, brebis, tout leur était bon. Des caves bourgeoises les officiers se faisaient apporter les grands crus de Bourgogne et de Bordeaux. Le gros vin et le cidre picard suffisaient pour les hommes. Le pays épuisé, les régiments allemands passèrent sans s'arrêter. « Nach Paris ! Nach Paris ! » (à Paris ! à Paris !). Et le flot coulait comme une source intarissable…

N° 531 - La vocation d'un enfant (Maurice Farney)

4,90 €
Préface  : Un enfant qui, dès ses premières années, est porté par sa nature vers une vocation invincible ; un père qui, par ambition, veut arrêter cette vocation et diriger son fils vers une carrière lui paraissant plus brillante et plus lucrative, tel est le début de la vie de François Girardon. On le destinait à la magistrature ; il préfère travailler comme simple ouvrier, dans un atelier de menuiserie, parce que ses goûts le portaient vers le dessin et la sculpture. Avec une volonté énergique, par un travail opiniâtre, il parvint à convaincre son père et à suivre la carrière où devait éclater son génie. Il s'éleva aux plus hautes fonctions, sous Louis XIV, et prit place parmi les hommes les plus illustres de son siècle. Nous offrons à nos jeunes lecteurs la vie de François Girardon, si belle et si intéressante, comme un exemple des bons résultats qu'on obtient par la volonté et un travail assidu.

N° 127 - Les étoiles (Mlle L. Masse) - Histoire de moustique (Marthe Rochenor)

14,00 €
16 Gravures Introduction  : « Maman, pourquoi les étoiles ne tombent-elles pas ? On les attache tous les soirs ? dis. Où vont-elles le matin ? » ajouta le gentil petit enfant qui s'intéressait à tout. Nous pensons que vous tous avez posé ces mêmes questions à vos chers Parents, qui vous ont répondu que chaque petite étoile brillante est en réalité un grand soleil et que, si elles paraissent toutes si petites, c'est qu'elles sont très, très loin d'ici. Autrefois, il y a longtemps, les gens n'étaient pas aussi savants que maintenant et les grandes personnes en savaient moins que bien des petits garçons et des petites filles de notre époque, et la plupart ignoraient ce qu'étaient les étoiles. Ils s'imaginaient toutes sortes de choses, et comme rien ne leur semblait plus beau que les astres brillant dans le ciel, ils leur donnaient le nom de leurs héros et héroïnes. La nuit venue, les étoiles apparaissaient et ces braves gens les regardaient en disant : « Tiens, ce soir Orphée joue de la lyre ! Oh ! comme Castor et Pollx brillent ! » Et ils étaient bien contents. Vous savez bien, mes chers enfants, que toutes ces histoires ne sont que des légendes ; mais si vous les lisez, elles vous aideront à vous rappeler le nom des étoiles. Puissent ces contes vous intéresser, tout en sachant que ces dieux, ces déesses, ces princes et ces princesses, ces géants et ces monstres n'ont existé que dans l'imagination de ceux qui ont écrit leurs histoires !

N° 141 - Histoire de Poucinet (Mme L. Veil)

4,95 €
17 Gravures Adaptation de Mme L. Veil Extrait : Il était une fois, en Finlande, un paysan qui avait trois fils : Pierre, Paul et Jean. Pierre était grand, gros, de mine rubiconde et stupide ; Paul était maigre, blême, envieux et méchant ; quant à Jean, c'était un vrai diablotin au teint frais comme celui d'une jeune fille et si petit qu'il aurait pu se cacher dans les bottes à revers de son père ; aussi l'avait-on surnommé « Poucinet ». Or, le paysan et sa famille étaient très pauvres, à tel point que la valeur d'un liard leur paraissait une vraie richesse. Ils vivaient de pain noir, et comme le seigle qui servait à le faire était très cher, ils n'en avaient que bien juste leur compte. Dès que les garçons furent en âge de travailler, le paysan les poussa à quitter la vieille demeure pour chercher fortune ailleurs…
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