Journaux - Brochures

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  • Auteurs: Henriette-Suzanne Brès
  • Auteurs: Pierre Hellin

N° 671 - A travers la forêt vierge (Pierre Hellin)

5,50 €
Extrait : Marcel Treich-Laplène a vingt-trois ans. Il paraît solide, et son regard bien franc est celui d'un homme qui a de la volonté et marche droit dans la vie. Pourtant, à la façon dont Marcel Treich tourne son chapeau entre ses doigts, puis se lève et se rassied après avoir fait quelques pas dans le salon d'attente, on devine qu'il est troublé et nerveux. C'est que le jeune homme vient d'être introduit dans la maison de M. Verdier à qui il a déjà demandé plusieurs fois un rendez-vous, et qui, enfin, a consenti à le recevoir. Or, M. Verdier est un gros personnage à La Rochelle. A cette époque — en 1883, — c'est l'un des premiers armateurs de France et il possède sur la Côte d'Ivoire deux importantes factoreries, à Assinie et à Grand-Bassam…

N° 683 - Les trois petits éclaireurs (Pierre Hellin)

4,90 €
Préface  : Du 30 juillet au 14 août 1937 vient de se tenir en Hollande, près de Haarlem, le grand rassemblement mondial des Scouts. Plus de trente mille garçons, venus des nations les plus lointaines, ont participé à ce Jamboree, y représentant les quatre millions d'éclaireurs. C'est là qu'on a compris que le scoutisme était vraiment une occasion magnifique pour les jeunes de tous les pays de chercher à se comprendre et à s'aimer. Comme leur a dit leur vieux chef Baden-Powell, qui a quatre-vingt ans et est le véritable fondateur du scoutisme : « C'est une grande cause, celle de la paix, que vous servez. La guerre est odieuse et stupide. Vous devez profiter du Jamboree pour avoir des amis dans tous les pays. » Il était bon de rappeler ces belles et généreuses pensées qui donneront encore plus d'intérêt à l'amusante histoire.

N° 166 - Les oeufs d'or de la guerre (Henriette-Suzanne Brès)

9,90 €
14 gravures Extrait : Dans la petite ville de X…, la foire finissait et la nuit approchait, dispersant la foule que le grand rendez-vous d'été avait plus que jamais attirée. Crac ! fit une grosse porte sur la place. C'était celle des bureaux de la Perception, où, depuis le matin, les gens du pays apportaient leurs pièces d'or : les marchands et marchandes, dans leurs sacoches de toile, les fermiers et fermières dans leurs « bas de laine » les messieurs dans leurs goussets, les dames dans leurs réticules…, vieux et jeunes et même des enfants étaient à la file. A chacun, on avait donné des billets de banque en échange puis un reçu indiquant la somme déposée, depuis 5 francs, la toute petite pièce d'or, jusqu'à mille et mille pièces de diverses valeurs.
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