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  • Editeurs: Editions de l'Imprimerie à l'Ecole - Vence
  • Editeurs: Librairie Larousse

N° 705 - Contes de fées d'après les frères Grimm

8,00 €
Au sommaire : - Le prince grenouille, - Le loup et les sept petits chevreaux, - Le courageux petit tailleur, - Les souliers de bal. Extrait : I - Le prince grenouille Au temps jadis, à cette époque heureuse où l'on avait tout ce qu'on désirait, vivait un roi qui avait des filles fort belles ; mais la plus jeune était si charmante que le soleil lui-même était émerveillé de sa beauté. Proche du château du roi s'étendait une sombre et triste forêt, au milieu de laquelle s'élevait un vieux tilleul et, au pied de ce tilleul, il y avait une source. Un jour, qu'il faisait très chaud, la fille du roi alla dns la forêt, s'assit au bord de cette fontaine rafraîchissante et se mit à jouer avec une balle en or qu'elle lançait en l'air et rattrapait pour s'amuser. Bientôt, cependant, la balle lui échappa, tomba sur l'herbe et roula dans l'eau. La princesse la suivit des yeux ; mais la balle disparut, car l'eau était si profonde qu'on ne pouvait en voir le fond. Alors la jeune fille se mit à pleurer amèrement. Bientôt elle entendit une voix qui disait : « Pourquoi pleures-tu, ô fille de roi ? Tes larmes attendriraient les pierres mêmes. »…

N° 704 - L'inventeur des allumettes (Jean Hesse, Henri Pellier)

5,90 €
Extrait : I - Quatre amis de collège Au collège de Dôle, parmi les plus grands, quatre amis se retrouvaient groupés, soit en classe, soit dans leurs jeux ou leurs promenades : Charles Sauria, Juditte Grévy, Fritz Kammerer et Léon Grincheux. Fritz était un jeune Allemand venu en France pour y étudier notre langue. Il était désireux de s'instruire, et ne manquait aucune occasion d'augmenter son bagage littéraire ou scientifique. Quant à celui qu'on nommait Grincheux, c'était un surnom, mais qui lui allait si bien qu'on ne l'appelait jamais autrement. Il avait pourtant de bons yeux et un petit nez en trompette qui prêtait à rire, et il était heureux chaque fois qu'il pouvait rendre service, mais toujours il se plaignait et grognait. Il avait une fâcheuse disposition à voir les choses du mauvais côté. Ses camarades avaient fini par s'en amuser et par lui donner ce surnom de Grincheux. Si Léon Grincheux se plaignait toujours, Fritz était rêveur et silencieux. Seuls Charles Sauria et Juditte Grévy aimaient échanger leurs idées et leurs projets d'avenir. Mais tandis que Juditte Grévy recherchait dans les livres les belles phrases et les discours, Charles Sauria ne s'occupait que de science, d'expériences et surtout de chimie…

N° 702 - Deux enfants à Madagascar (Charles Guyon)

8,00 €
Extrait : I - Pendant la récréation « Jean, j'ai une bonne nouvelle à l'annoncer. — Une bonne nouvelle ! Laquelle, Ferdinand ? — Mon père, qui est obligé de se rendre à Madagascar pour ses affaires, m'a dit qu'il profiterait des vacances pour te conduire à Tamatave. — Oh ! Je serai bien content d'être avec lui pour ce voyage ! — Mais ce n'est pas tout… — Dis-moi vite ce que tu sais. — Il m'emmène avec lui pour passer deux mois dans ta famille et il nous ramènera ensemble à Paris. — Voilà qui est parfait ! Rien ne pouvait me causer un plus grand plaisir, mon cher Ferdinand. Quel bonheur, passer deux mois ensemble dans mon pays, où j'aurai tant de choses à te montrer ! — Il y a longtemps aussi, cher Jen, que je désire connaître cette grande île dont tu me parles si souvent et que tu me dis si belle et si curieuse !…

N° 701 - Chants français (8e Livre) - Illustrations de A. Bonamy

5,90 €
Au sommaire : Ma tante Tire-Lire, Le Petit Enfant, Le Roi d'Yvetot, Le Chien Gourmand, Le Roi Nègre, Le Petit Chat, Mon âne mon âne, La Violette double, La Fille du Vigneron, Ronde des Vieilles et des Vieux, La Vieille, La Poule Blanche, Gai Chevalier Printemps !, Le chasseur, Hans du Schnockeloch et Le Tambourineur.

N° 699 - L'enfant des cavernes par Combot - Illustrations de M. Toussaint

6,90 €
Ceci se passait il y a bien longtemps, bien longtemps, peut-être vingt-cinq mille ans, peut-être davantage. Notre pays ne ressemblait pas tout à fait à ce qu'il est aujourd'hui. Des forêts plus profondes couvraient les monts et les plaines, interrompues ça et là par de vastes landes ou d'immenses marécages ; les rocs se dressaient plus aigus et les cours d'eau plus puissants...

N° 698 - Découverte de la Louisiane par Yvonne Girault - Illustrations de M. Toussaint

6,50 €
Sur les quais de Rouen, la brume s'épaissit, enroulant ses voiles gris au mât des caravelles qui déchargeaient leur fret. Par l'étroite passerelle qui les reliait au dallage de la rive, circulaient des hommes courbés sous le poids des sacs de café, des ballots d'épices dont l'odeur lourde traînait dans le brouillard. Des imprécations se croisaient en divers langages. ...

N° 696 - Aventures de Pickwick par Charles Dickens - Illustrations de A. Bonamy

5,90 €
Il n'est pas un enfant d'outre-Manche qui ignore le nom de Dickens, l'un des plus grands romanciers anglais du XIXe siècle. Après une rude et laborieuse enfance, Charles Dickens parvint, à force de courage et de persévérance, à se faire une grande place parmi les écrivains de son époque. Toute sa vie, il conta des histoires. [...]

N° 694 - Théâtre de Guignol par Marcelle Tarnier - Illustrations de René Portelette

5,90 €
Guignol médecin (Pièce en un acte) et La commission bien faite (pièce en un acte) — GUIGNOL est mort, vive GUIGNOL ! Une nouvelle série succède à tant d'autres ! Les enfants aimeront toujours ce joyeux compagnon, et, à peu de frais, sauront le faire agir eux-mêmes, sur un théâtre fait de quelques planches... [...]

N° 680 - Pantagruel (Yvonne Girault)

5,90 €
Extrait : Enfance de Pantagruel Beaucoup d'entre vous, mes chers petits amis, se souviennent certainement des aventures du géant Gargantua, telles que Rabelais nous les a racontées autrefois. Se souviennent-ils aussi que nous leur avions promis la suite de ces aventures, l'histoire du géant Pantagruel, fils de Gargantua ? C'est cette histoire que nous allons leur conter aujourd'hui. Or donc, Gargantua avait épousé la princesse Badbec, fille du roi des Argonautes. Et il advint en ce temps-là une sécheresse si extraordinaire, qu'il s'écoula trente-six mois, trois semaines, quatre jours, treize heures (et quelque peu davantage) sans pluie, avec une chaleur si véhémente que toutes les rivières étaient taries et que tous les animaux des champs mouraient de soif. Ce pourquoi, quand son fils naquit, Gargantua lui donna pour nom Pantagruel, ce qui signifie « le très altéré ». En venant au monde, Pantagruel coûta la vie à sa mère, la reine Badbec. Aussi Gargantua ne savait s'il devait pleurer la mort de sa femme, ou se réjouir du fils qui lui était né, si beau et si grand ; en sorte, dit la légende, qu'il prit le parti de rire d'un oeil et de pleurer de l'autre…

N° 187 - Les fils de nos poilus (Charles Guyon)

5,90 €
11 Gravures Préface  : L'histoire des hauts faits accomplis par les enfants et par les jeunes soldats français est inépuisable ; inépuisable aussi est la liste de leurs gestes patriotiques. L'exemple de nos vaillants poilus a excité l'ardeur de leurs fils ; tous s'efforcent de marcher sur les traces de leurs pères et de leurs frères aînés. Ils ont obéi à ces beaux vers de Rouget de l'Isle qu'ils chantent dès l'enfance : Nous entrerons dans la carrière, Quand nos aînés n'y seront plus. Et souvent ils sont entrés dans la carrière sans attendre la mort de leurs aînés ; et souvent ils combattent à leur côté, émerveillant les anciens par leur mépris du danger, leur vaillance, leur dévouement et leur abnégation. D'autres, plus jeunes, incapables de porter les armes, savent encore se rendre utiles à la patrie. Quelques lettres qu'on pourra lire ici montrent quels sentiments de patriotisme, sublimes et touchants, animent les petits garçons et les petites filles de nos écoles. Leur pensée se reporte vers ceux qui luttent sur le front pour la sauvegarde et l'honneur de la patrie et cette pensée leur inspire ce dévouement merveilleux dont, à aucune autre époque de l'histoire, la jeunesse n'a donné l'exemple. En conserver quelques traits, les graver dans la mémoire de tous les Français, est une oeuvre des plus utiles.

N° 683 - Les trois petits éclaireurs (Pierre Hellin)

4,90 €
Préface  : Du 30 juillet au 14 août 1937 vient de se tenir en Hollande, près de Haarlem, le grand rassemblement mondial des Scouts. Plus de trente mille garçons, venus des nations les plus lointaines, ont participé à ce Jamboree, y représentant les quatre millions d'éclaireurs. C'est là qu'on a compris que le scoutisme était vraiment une occasion magnifique pour les jeunes de tous les pays de chercher à se comprendre et à s'aimer. Comme leur a dit leur vieux chef Baden-Powell, qui a quatre-vingt ans et est le véritable fondateur du scoutisme : « C'est une grande cause, celle de la paix, que vous servez. La guerre est odieuse et stupide. Vous devez profiter du Jamboree pour avoir des amis dans tous les pays. » Il était bon de rappeler ces belles et généreuses pensées qui donneront encore plus d'intérêt à l'amusante histoire.

N° 526 - La glorieuse découverte d'un jeune peintre (Charles Guyon)

2,90 €
Préface  : Jusqu'au XIV siècle, la peinture s'exécutait à la détrempe, c'est-à-dire que les couleurs étaient délayées avec du banc d'oeuf et de la gomme ; le tableau était en suite verni, mais ce genre de peinture ne durait pas : la pluie, le soleil, le temps même la détruisaient, c'est pourquoi on a pu conserver si peu de chefs-d'oeuvre de l'antiquité. Un jeune peintre flamand, Jean Van Eyck, surnommé aussi Jean de Bruges, arriva, après bien des études et des travaux infructueux, à trouver la peinture à l'huile. Les huiles de lin, de noix, etc., qu'il employa, se mêlaient mieux aux couleurs que la gomme ou le blanc d'oeuf, et séchaient plus rapidement. Cette merveilleuse découverte transforma l'art de la peinture et permit de créer les chefs-d'oeuvre qui font aujourd'hui notre admiration. C'est la vie de Jean Van Eyck que nous racontons à nos jeune lecteurs.

N° 402 - Au pays des pampas par René Samoy

3,50 €
Les pampas sont ces vastes plaines incultes qui s'étendent dans la République Argentine, entre l'océan Atlantique et la Cordillère des Andes, sur la frontière du Chili. Autrefois, avant l'arrivée des Espagnol, ces plaines étaient parcourues par des tribus sauvages ; quelques-unes même étaient anthropophages...

N° 627 - La poupée de caoutchouc (Jean Hesse, Henri Pellier)

4,90 €
Extrait : En rentrant de son cours de chimie, André fut très étonné de trouver dans la cuisine sa mère et sa soeur en train de confectionner une superbe galette. Et dans la salle à manger le grand couvert était mis avec des fleurs sur la table et une bouteille de champagne sur le buffet. « Quel est le convive pour lequel on met ainsi les petits plats dans les grands ? demande André intrigué. — Ce convive, c'est toi ! » s'écrie en riant Madeleine, la soeur d'André. Et sa mère embrassant son fils, lui explique : « C'est fête aujourd'hui, mon cher André, parce que c'est le jour de tes quinze ans…

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…

N° 571 - Aventures chez les Patagons (Charles Guyon)

9,90 €
Extrait : Le navire français, Le-Rapide , avait quitté le port de Buenos-Ayres, il y a quelques années, pour se rendre au Chili par le détroit de Magellan. Il transportait des colons qui allaient tenter fortune dans mes mines de ce pays. Parmi les passagers, se trouvaient deux jeunes Français qui s'étaient connus à Paris et que liait une étroite amitié : c'étaient Pierre Legoffic, ingénieur des mines, qu'une riche compagnie du nord de la France envoyait à Valparaiso pour étudier particulièrement les mines de cuivre. Son compagnon, Paul Normand, représentait une importante maison de commerce de Paris, et il allait sur les côtes de la Patagonie recueillir les riches fourrures qui s'y trouvent en abondance. « C'est une heureuse chance de nous être retrouvés sur ce navire, dit Legoffic. — J'en suis très content, répondit Paul Normand, c'est un vrai plaisir de voyager avec un ami dans des parages si lointains. Est-ce que vous allez au Chili ? »…

N° 576 - La Sicile en auto (Juliette Goublet)

4,90 €
Extrait : I - LA BELLE AFFICHE C'était dans les premiers jours de l'automne. Marie-Claude et Gilbert étaient tombés en arrêt devant l'un des bureaux du tourisme qui avoisinent la place de l'Opéra. C'est en vain que leur père essayait de les entraîner vers le boulevard des Italiens. Ils ne se lassaient pas d'admirer une affiche multicolore où l'on voyait, au bord d'une mer très bleue, un rivage planté d'orangers fleuris. Ne pouvant en distraire ses enfants, M. Dupont prit le parti de s'intéresser lui aussi à l'affiche. « Tu vois, papa, dit Marie-Claude, c'est un paysage de Sicile. Ne trouves-tu pas que ce pays paraît charmant ? » Cependant, M. Dupont lisait lui aussi les réclames inscrites à droite et à gauche : Visitez la Sicile, l'île du Soleil . « Au fait, dit-il, pourquoi n'irions-nous pas passer quelques jours là-bas ? Qu'en diriez-vous, mes enfants ? Par avion, nous serons vite rendus… »

N° 551 - Walter Scott à Paris (Henri Pellier)

3,50 €
Extrait : I - LA PERLE DES ONCLES « Comment me trouvez-vous ? » demande une voix joyeuse. Et une fillette, gracieuse et souriante, s'avance en sautillant dans la grande pièce où Adrien Boucart et son neveu Jean examinaient une pièce de drap. « Tu est belle comme l'image d'un conte de fées, » dit Jean à sa soeur. Pour ce compliment la fillette fait une révérence qui prouve son habitude à se trouver dans un monde où l'on sait saluer. Thérère Boucart, qui venait d'avoir quatorze ans, était employée chez une célèbre fleuriste de la rue Saint-Honoré, dont l'enseigne « Au Fleurs de Lis » était bien connue. On était en 1828. Charles X était roi de France, et c'était « Aux Fleurs de Lis » que la cour confiait la décoration de ses salons les jours de réception. « Alors, vous me trouvez bien ? » insiste Thérèse en exécutant trois petits tours qui font bouffer sa robe blanche ornée d'une large ceinture rose, et agitait les boucles blondes de ses cheveux qui encadrent le plus charmant des visages…

N° 246 - Les petits Français au Japon par M. Charles Guyon

8,00 €
12 Gravures — Le Japon s'est uni aux Alliés, dès les premiers jours de la guerre ; il a chassé les Allemands de la Chine, où ils avaient établi une colonie. Depuis 1914, cet empire oriental est resté fidèle à notre alliance et, en ce moment, ses armées combattent, en Sibérie... [...]

N° 356 - Les vacances sur la plage par Charles Guyon

5,90 €
Ce récit, pris sur le vif, de la vie des baigneurs sur une plage de l'Océan, rappellera d'agréables souvenirs aux petits lecteurs qui ont déjà passé leurs vacances au bord de la mer. Quant à ceux qui n'ont pas encore eu ce plaisir, il les transportera, en imagination, sur un point de cette belle côte de Bretagne... [...]

N° 193 - Les drames de la piraterie (Charles Guyon)

8,00 €
12 Gravures Préface  : Les actes commis sur mer par les Allemands, en violation du droit des gens sont innombrables. Ils ont, à plusieurs reprises, excité l'indignation du monde entier et failli amener la guerre entre les États-Unis et l'Allemagne. Celle-ci, devant la réprobation générale et, dans la crainte de voir un ennemi de plus se joindre aux Alliés, avait promis, l'année dernière, de respecter la vie des passagers et de ne plus torpiller les paquebots et navires marchands, sans avertissement préalable. Mais il en a été de cette promesse comme de beaucoup d'autres et les sous-marins allemands n'ont cessé de poursuivre leur oeuvre criminelle. L'histoire conservera, comme une honte pour une nation qui se prétend civilisée, les noms du Lusitania, de l'Arabic, de l'Hespérian, de la Ville-de-la-Ciotat, du Persia, de la Provence-II, du Sussex et de beaucoup d'autres navires qui ont péri avec une partie de leurs passagers, avec des femmes et des enfants que devaient protéger, à défaut de toute humanité, les règles internationales de la marine. Nous avons voulu mettre sous les yeux de nos petits lecteurs quelques-uns de ces drames, parce qu'ils y trouveront des leçons admirables de courage et de sang-froid, non seulement parmi les officiers et les marins des navires attaqués, mais aussi parmi les plus humbles victimes de cette odieuse piraterie.
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