Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Anne-Marie Delfour
  • Auteurs: Eugène d'Henry
  • Auteurs: Jean Glachant

N° 1482 - Sur la route sanglante (Eugène d'Henry)

3,05 €
Extrait : — Dis-moi, elle est très bien, cette grande brune. C'est la gouvernante de Jacqueline ? Marcel Deraker hésita un peu avant de répondre : — Oui. Pourquoi ris-tu ? — Moi ? Je ris ? Je souris, tout au plus… Jean Pertuis creusa un instant, du bout de son soulier, le sable de la plage. Devant eux, la côte plate s'allongeait, brûlée de soleil d'août. La mer grise, cette Manche qui commençait à s'appeler la Mer du Nord, flambait de mille paillettes d'argent qui étaient de menues vagues. Un gros cargo siffla au loin, demandant le pilote.Pertuis avait relevé son visage égayé et dévisageait Marcel : — Je souris en songeant que cette gouvernante de jeune fille gouvernerait volontiers… certain jeune homme. — Mais je je désire pas être gouverné, moi ! J'ai trop de volonté pour cela !…

N° 1576 - Un flirt et un amour (Anne-Marie Delfour)

3,56 €
Extrait : Le directeur du théâtre Bruce, alluma gravement un Diplomate, et considéra attentivement la jeune fille qui se tenait devant lui, très émue, toute menue dans son costume de scène. — « Mademoiselle Longet, je vous ai fait prier de venir me voir, pour vous proposer une affaire intéressante. Veuillez vous asseoir… » Viviane Longet respira plus librement, rassurée…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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