Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Claude Bergerye
  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Léo Gestelys
  • Auteurs: Maurice Allan

N° 1269 - La vie cruelle (Léo Gestelys)

3,56 €
Extrait : D'un pas alerte, Edouard de Fontelles montait le boulevard Saint-Michel, le « Boul' Mich' », comme il avait coutume de dire à l'époque pas très lointaine où sa jeunesse studieuse s'écoulait devant cet horizon borné dont la Faculté de Médecine et celle de Droit semblent être les pôles tandis que l'austère Sorbonne en demeure le coeur. …

N° 1638 - Un étrange mariage (Maurice Allan)

4,90 €
Extrait : Dans un grand frémissement de velours et de soie, Mme Trucherie fit une fébrile entrée qu'accompagnait en sourdine - très en sourdine - une discrète odeur de chypre. — Chérie ! s'affolait-elle, mais tu n'as pas encore ton voile ! Et Philippe qui est déjà là ! Il grille d'envie de te voir, le pauvre. Nos invités sont au complet. D'une minute à l'autre, l'oncle François peut arriver. …

N° 1224 - La découverte de l'amour (Léo Gestelys)

3,05 €
Extrait : — Je vous remercie, ma chère nièce, d'avoir pris la peine de venir me chercher dans ma retraite et de m'avoir proposé ce moyen de locomotion incontestablement pratique lorsque le temps presse. Non que j'éprouve un réel penchant pour ces dangereuses mécaniques. Au moins, vous me répondez de votre chauffeur ? Il ne se livrera pas à des excès de vitesse ? — Mais non, ma bonne tante, une honnête soixante à l'heure. — Je préfèrerais du vingt ou du vingt-deux, ce que faisait, dans sa jeunesse, la superbe jument alezane de mon regretté père. — Je vous assure, ma tante, Robert est la prudence même ; jamais il ne lui est arrivé le plus petit accident ; mais je ne vois pas Sylvie, ses préparatifs ne sont donc pas encore terminés ? — Ses préparatifs ? Voudriez-vous insinuer que Sylvie puisse être du voyage ? — Il me semblait que vous ne vous sépariez jamais de votre jeune pupille…

N° 1699 - Rien que pour toi (Claude Bergerye)

3,05 €
Extrait : Le car s'arrêta près d'un petit pont. Un seul voyageur en descendit ; le chauffeur lui lança sa petite valise se trouvant sur la plate-forme du véhicule qui repartit dans un nuage de poussière. Le jeune homme - presque un enfant encore, ainsi qu'en faisait foi d'ailleurs sa tenue de lycéen, - fouilla des yeux la route sinueuse. — Firmin se serait-il pas encore arrivé ? murmura-t-il. Sans doute père l'aura retenu à la ferme. Un instant, il attendit, appuyé au parapet, regardant couler entre ses rives verdoyantes la jolie rivière qui sillonnait le pays de son enfance et qui était attachée à tant de souvenirs. Des souvenirs ! Il en avait déjà, bien qu'il eût seulement atteint sa dix-huitième année ; il s'y mêlait toujours d'ailleurs la présence d'une petite fille, aux cheveux blonds, aux grands yeux bleus étonnés, son amie d'enfance, presque sa soeur… Josette. Un soir d'hiver, il y avait des années de cela, son père et sa mère l'avaient amenée chez eux pour partager leur vie ; l'enfant, la filleule de Mme Vincent, était devenue orpheline et n'avait plus personne pour prendre soin d'elle. Ils grandirent ensemble, elle petite fée silencieuse, mais sachant imposer ses caprices et sa fantaisie, lui, docile, ayant élu tout de suite pour sa reine, cette enfant ravissante…

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
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