Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

Il y a 4 produits.

Affichage 1-4 de 4 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Claude Marsèle
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Jean Delhat

N° 1507 - La veillée des larmes (Claude Marsèle)

3,56 €
Extrait : Les cours venaient de prendre fin, ce matin-là. Jeunes gens et jeunes filles, mêlés, s'égaillèrent dans la cour de l'Ecole des Arts Décoratifs. Il y eut des cris, des appels, des rires. Des groupes se formèrent qui commentèrent avec passion, la dernière leçon. Des isolés se hâtèrent vers la sortie. Des couples se rejoignirent. Au milieu de ce tumulte, deux noms furent lancés…

N° 1577 - C'est ça l'amour ! (Jean Delhat)

2,90 €
Extrait : Maud Géniat secoua, rêveuse, la cendre de sa Chesterfield, et renversée dans son fauteuil, se laissa bercer par la tendre mélodie que sa jeune soeur Anne-Marie venait de faire éclore dans le silence du studio, en tournant simplement le bouton laqué blanc du poste de radio. Anne-Marie chantonnait en esquissant un pas de valse. Maud la vit s'arrêter devant la cheminée…

N° 1489 - Jugée par sa fille (Claude Marsèle)

4,92 €
Extrait : Fabienne Marlens allait et venait, empressée, de la cuisine à la vaste salle à manger, sobrement meublée d'acajou, où Etienne Marlens, assis devant une table soigneusement nappée de blanc, commençait à dîner. La jeune fille avait entendu se substituer à la domestique qui assurant habituellement le service. Ce dîner n'était pas un dîner comme tous les autres. …

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire