Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Guy Vander
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: René Duchesne

N° 1053 - Enfant de bohême (Guy Vander)

4,00 €
Extrait : Au retour d'une de ses pêches quotidiennes, Honoré Gardanne, patron du Souléou de Prouvence (Soleil de Provence), une barque convenablement équipée, résolut d'aller jusqu'à Saint-Jeannet demander au sacristain Jauffrey la main de sa fille : Fine. Le sacristain n'eut garde de refuser, sachant qu'il reviendrait à Gardanne, à la mort de sa tante…

N° 1295 - La fille du désert (René Duchesne)

3,56 €
Extrait : Alger, généralement des plus calmes avant le crépuscule, avait ce jour-là ses rues principales envahies par une foule surexcitée qui se massait çà et là devant chaque magasin, chaque grand hôtel, pour lire l'affiche bariolée fraîchement collée aux murs. « Société des Amis de l'Afrique du Nord. A l'occasion de l'Exposition internationale de Paris… Un grand concours est offert…» …

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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