Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Henriette Caton
  • Auteurs: Marcel Priollet

N° 1356 - Au nom de l'amour (Henriette Caton)

4,00 €
Extrait : — Maman, regarde ma jupe !… Mme Lanfeuille, occupée à repriser des bas, leva lentement la tête et son visage mélancolique prit une expression de détresse infinie. La gorge serrée, avec un haussement d'épaules découragé, elle soupira et répondit : — Oui, je vois… La voix fraîche de la jeune fille s'éleva de nouveau : — Il ne sera bientôt plus possible de la raccommoder…

N° 1447 - Le retour d'un évadé (Henriette Caton)

3,56 €
Extrait  : Dans le compartiment de troisième classe d'un train de banlieue, Marc Aubry venait de monter, après avoir laissé passer devant lui deux jeunes femmes qui avaient commencé à lier conversations sur le quai. L'une d'elles tenait la valise qu'il avait fait glisser entre les deux banquettes tout en grimpant sur le marchepied. Elle la lui tendit en souriant gentiment. …

N° 1495 - L'impardonnable vengeance (Henriette Caton)

3,50 €
Extrait : — Monsieur Mesnil ! monsieur Mesnil !… Où êtes-vous ? La mère Gertrude s'époumonait, les mains en porte-voix devant sa bouche, à l'extrémité de l'immense cour qui précédait la rustique et pourtant élégante demeure. — Monsieur Mesnil ! monsieur Mesnil !… Un homme apparut, sortant d'un hangar. …

N° 1447 - Le retour d'un évadé (Henriette Caton)

6,00 €
Extrait : Dans le compartiment de troisième classe d'un train de banlieue, Marc Aubry venait de monter, après avoir laissé passer devant lui deux jeunes femmes qui avaient commencé à lier conversations sur le quai. L'une d'elles tenait la valise qu'il avait fait glisser entre les deux banquettes tout en grimpant sur le marchepied. Elle la lui tendit en souriant gentiment. …

N° 1159 - Rivale de sa mère (Marcel Priollet)

3,05 €
Extrait : Sur la grande route de Paris, qui mène d'Enghien à Montmorency, deux jeunes filles montaient allègrement la côte. Leurs ombrelles ouvertes, aux tons chatoyants, jetaient sur leurs visages de jolis reflets. Une de ces jeunes têtes était blonde, comme des épis d'or, avec un frais visage tout rond, aux traits menus, aux yeux espiègles. C'était Yvonne Nangis, une jeune Parisienne venue pour passer la journée à la campagne auprès de son amie intime, Germaine Berlac. C'était ainsi que se nommait la plus grande des deux promeneuses, une brune, très pâle, aux grands yeux noirs et douloureux, à l'expression résignée de celles qui ont déjà beaucoup souffert. A la minute présente, la jeune fille oubliait sans doute ses peines, car un rire très doux, très cristallin, fusait par instant entre ses lèvres. — Je n'en puis plus ! soupira tout à coup la blonde Yvonne. Je renonce à aller plus loin. — Encore un peu d'endurance, et tes efforts seront récompensés ! encouragea Germaine en souriant…

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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