Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Jean Delhat
  • Auteurs: Yanka

N° 1521 - L'atroce vérité (Yanka)

4,92 €
Extrait : Antoinette sécha une dernière larme et alla ouvrir la porte du salon. — Tu veux venir dire au revoir à oncle Maurice, Jeannine, cria-t-elle. On entendit le pas vif de la fillette qui accourait. Son beau regard tendre, un peu inquiet, se posa tour à tour sur chacun des visages, celui de sa mère, puis celui de Maurice Molière. Elle comprit qu'il venait de se passer quelque chose entre eux…

N° 1577 - C'est ça l'amour ! (Jean Delhat)

2,90 €
Extrait : Maud Géniat secoua, rêveuse, la cendre de sa Chesterfield, et renversée dans son fauteuil, se laissa bercer par la tendre mélodie que sa jeune soeur Anne-Marie venait de faire éclore dans le silence du studio, en tournant simplement le bouton laqué blanc du poste de radio. Anne-Marie chantonnait en esquissant un pas de valse. Maud la vit s'arrêter devant la cheminée…

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire