Le Petit Livre

Parution hebdomadaire du Samedi, la collection « Le Petit Livre... » comprend 2006 titres parus de 1912 à 1958 — avec une interruption de 1941 à 1946. Les couvertures sont illustrées par Georges Vallée ou C. Sogny. Vingt-et-un titres sont écrits par Georges Simenon sous les pseudonymes de Jean Du Perry, Georges Sim, Georges-Martin Georges, Jacques Dersonne, Jean Dorsage,...

Collection Le Petit Livre - Éditions FERENCZI - Livres d'occasion

Il y a 5 produits.

Affichage 1-5 de 5 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Louis Delaht
  • Auteurs: Louise Gravise

N° 1621 - Mirages (Louis Delhat)

4,92 €
Extrait  : — Tu m'aimes ? Jean Dorvil contempla le fin visage levé vers lui, un peu anxieux, pathétique dans cette angoisse qui tendait les traits, accusait la profondeur du regard clair. — Mais oui, ma chérie !… Tu le sais bien ! Paulette soupira et s'absorba derechef dans la confection de son tricot. Un pull-over qu'elle destinait à Jacky, leur fils, un bambin de six ans qui dormait …

N° 1496 - Un rêve bleu (Louis Delaht)

2,90 €
Extrait : Le soir tombait doucement. Il y avait dans l'air tiède une exquise senteur, indéfinissable, faite de ces mille parfums du jour, éclos du soleil, sur cette Côte d'Azur privilégiée, où l'or permanent du soleil laisse une gamme inouïe de richesses. Villefranche s'endormait paisiblement, dans un crépuscule tout nuancé de pourpre…

N° 1621 - Mirages (Louis Delhat)

3,56 €
Extrait : — Tu m'aimes ? Jean Dorvil contempla le fin visage levé vers lui, un peu anxieux, pathétique dans cette angoisse qui tendait les traits, accusait la profondeur du regard clair. — Mais oui, ma chérie !… Tu le sais bien ! Paulette soupira et s'absorba derechef dans la confection de son tricot. Un pull-over qu'elle destinait à Jacky, leur fils, un bambin de six ans qui dormait …

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…

N° 1698 - Quand l'amour veut vivre (Louise Gravise)

3,05 €
Extrait : — Le malade est perdu... Jean Lallier redressa sa haute taille, et foudroya du regard son assistant. — Je le sauverai ! Si vous flanchez, Lausac, allez ailleurs ! L'opération était assurément particulièrement délicate. Un massage du coeur avait déjà paré à une première alerte. Le patient était âgé et les réactions de l'organisme trop lentes. Le Dr Lallier l'avait prévu. Mais il fallait tenter cette intervention. C'était cela ou la mort inévitable. En toute conscience, il avait choisi. — Le coeur faiblit ! annonça l'anesthésiste, de sa voix calme, impersonnelle, comme perdue dans le silence blanc de la salle. Lallier sentait la sueur lui perler le long des tempes et tomber goutte à goutte dans son col, dans son masque… Un flot de sang jaillit d'une veine qui venait de céder sous une pince. Lallier leva les yeux et surprit un sourire narquois sur le visage de l'interne ; un jeune homme qui croyait tout savoir et se targuait de faire des diagnostics infaillibles…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire