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Fascicules et Revues | Vente de journaux d'occasion

Il y a 2 produits.

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  • Auteurs: Jude Deveraux
  • Auteurs: Philippine Terris

N° 3453 - La princesse de feu d'après le roman de Jude Deveraux

3,75 €
Aryane et Doriane sont jumelles. Si elles se ressemblent au physique comme deux gouttes d'eau, leurs caractères sont franchement dissemblables. Malgré sa beauté, Aryane est froide comme un glaçon, même dans les bras de son beau fiancé, le docteur Leander Westfield. Doriane, qui revient après cinq ans d'absence dans la petite ville de Chandler, bardée de diplômes de médecine, est sidérée par la misogynie qui semble être de règle chez tous les sujets mâles de la cité. Aussi se lance-t-elle tout feu tout flamme dans une bataille rangée mais seulement verbale avec ce fat de Leander Westfield. Jusqu'au soir où Aryane, subjuguée par le mystérieux Kane Taggert et résolue à se rendre à l'invitation qu'il lui a faite de dîner dans sa somptueuse demeure, demande à Doriane de prendre sa place au côté de Leander. Je jeune homme découvre alors chez sa glaciale fiancée un tempérament de braise… Tout va basculer à la suite de cette mémorable soirée. Doriane va accumuler gaffes sur gaffes et se retrouver embarquée dans une suite de quiproquos dont l'issue risque de ne pas être toujours heureuse…

N° 3417 - Mensonge et passion (Philippine Terris)

3,75 €
Mensonge et passion Un roman inédit de Philippine Terris Extrait : J'eus un soupir exaspéré et, pendant une seconde, je crus que j'allais me jeter sur la toile, pour la lacérer. Je me contentai d'essuyer mon pinceau soigneusement. Par les vitres de l'atelier, une blafarde lumière d'hiver tombait sur le tableau que j'étais en train de peindre. Le costume de l'homme en rouge paraissait plus éclatant et plus pâle, son visage anguleux : — Mais les yeux… Je n'arrive pas à peindre les yeux… Et j'arrachai ma blouse, à grands gestes impatients. J'avais mal à la tête, une subite envie de pleurer. Il est terrible d'essayer de traduire en formes, en couleurs, ce qui est le reflet mouvant de votre imagination.. — Quelquefois, c'est même impossible, murmurai-je. Je détournai le regard de l'homme en rouge. Je finirais par le détester, ce visage sans regard, dont la bouche souriait, dédaigneuse…
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