Les livres roses pour la jeunesse

Les petits livres roses pour la jeunesse publiés par la Librairie Larousse, est une collection de 719 numéros commencée en 1909. Il paraît deux volumes par mois - 1er et 3e samedis -. Chaque livre est illustré « à profusion de charmantes gravures originales » . La publication prend fin en 1939.

Les livres roses pour la jeunesse - Librairie Larousse - Livres d'occasion

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Maurice Farney

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…

N° 531 - La vocation d'un enfant (Maurice Farney)

4,90 €
Préface  : Un enfant qui, dès ses premières années, est porté par sa nature vers une vocation invincible ; un père qui, par ambition, veut arrêter cette vocation et diriger son fils vers une carrière lui paraissant plus brillante et plus lucrative, tel est le début de la vie de François Girardon. On le destinait à la magistrature ; il préfère travailler comme simple ouvrier, dans un atelier de menuiserie, parce que ses goûts le portaient vers le dessin et la sculpture. Avec une volonté énergique, par un travail opiniâtre, il parvint à convaincre son père et à suivre la carrière où devait éclater son génie. Il s'éleva aux plus hautes fonctions, sous Louis XIV, et prit place parmi les hommes les plus illustres de son siècle. Nous offrons à nos jeunes lecteurs la vie de François Girardon, si belle et si intéressante, comme un exemple des bons résultats qu'on obtient par la volonté et un travail assidu.
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire