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  • Auteurs: Jean Vignaud
  • Auteurs: Patricia MacDonald
Petite soeur (Patricia MacDonald) - Le livre de poche N° 7667
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Petite soeur (Patricia MacDonald) - Le livre de poche N° 7667

2,55 €
Lorsque la mort de son père ramène Beth à Oldham, dans le Maine, elle ne s'attend guère à retrouver autre chose que de mauvais souvenirs, dans cette maison qui n'a jamais été un foyer. Et surtout, il y a Francie, sa jeune soeur de quatorze ans, de qui tant de choses la séparent... Pourtant le contact se renoue. Au point que Francie est prête à quitter Oldham pour aller vivre avec sa soeur aînée à Philadelphie. Alors surgit Andrew, le petit ami de Francie. Un garçon de vingt et un ans, agressif et déséquilibré, porteur d'un passé tragique... Et qui n'entend pas partager Francie. Le suspense implacable et l'insoutenable angoisse qui s'instaurent à partir de là confirment la place de tout premier plan, aux côtés d'une Mary Higgins Clark, de l'auteur d' Un étranger dans la maison .

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
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