✯ Romances toutes époques

Littérature sentimentale : Romances toutes époques - Livres d'occasion

Il y a 3 produits.

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  • Editeurs: Editions du Bois de Boulogne
  • Editeurs: Editions du Guépard

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

5,95 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…

N° 7 - Le Seigneur de Camargue (Michel Perry) - Collection Ambre

1,60 €
Que se passe-t-il au mas des Salicornes, la riche propriété de Camargue de Frédéric Barran ? Ce bel homme, farouche et intransigeant est redouté par son personnel comme par ses proches : Pascale, sa nièce adolescente sauvage et hostile, Vincente, sa fille, jeune poliomyélitique, Anaïs, la vieille gouvernante. Frédéric Barran cache un déchirant secret…

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

2,90 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…
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