Retenus prisonniers dans le palais du roi Knoba, Egill, Asmude et Njall ne doivent leur salut qu'à l'apparition de Bifurr, le héros légendaire. Et c'est dans le sanctuaire d'Ymir que se dénouera la tragédie des royaumes nains…
Enfermées depuis trois siècles, les hordes de Baldûr, le Prince-Démon, s'échappent de l'ancien royaume souterrain des Nains. Devant elles : Midgard, la terre des Hommes, prête à tomber sous leur joug…
Sylfeline et son espèce de peluche bedonnante, le fameux Tchoubou, continuent leur épopée à travers un univers en perpétuelle transformation. Cette fois, les voilà partis, grâce à des portes interdimensionnelles, dans une succession de mondes parallèles plus ou moins recommandables ! Mais pas de panique… Comme dans le premier épisode, tout finira par s'arranger, aussi bien pour nos deux héros que pour Alnaouna et Andopal, le couple divin à l'origine de cet univers onirico-fantasmagorique… Faisant suite au premier tome « Les 5 mondes de Sylfeline », cette histoire nous emmène dans des univers de plus en plus exotiques à travers des portes interdimensionnelles qui réservent bien des surprises, y compris une rencontre inopinée avec Altor , le héros de la série elfique du scénariste de Sylfeline, Marc Bati. (Source : La boutique des Bellaminettes)
Une fois encore, Sylfeline va devoir retrouver un dieu en perdition. Une fois encore, elle va devoir traverser d'incroyables univers, découvrir des contrées merveilleuses, étranges, parfois peu fréquentables, voire effrayantes ! Une fois encore, l'aide de Tchoubou qui retrouve ses pouvoirs pour l'occasion, ne sera pas de trop. Une fois encore ?! Elle pourrait bien commencer à en avoir assez, et douce et gentilles Sylfeline, qu'on lui demande de sauver l'univers tous les quatre matins… Oui, mais si c'est Alnaouna la merveilleuse qui lui confie une telle mission, comment refuser ? (Source : la boutique des Bellaminettes)
« Cette histoire prend sa source à la source de toute chose, en ces temps bien avant nos temps, en ces époques où le commencement n'avait pas encore eu lieu… Là vivaient les dieux, dans leurs hautes sphères parfaites. Loin de l'imperfection de la matière dense leurs mondes étaient faits d'effluves invisibles et subtils… »