D'après le célèbre roman chinois Au bord de l'eau de Shui-hu-zhuan qui met en scène une bande de hors-la-loi et d'insurgés de toutes origines sociales.
Les GI’s punaisaient (en anglais “To pin-up”) les dessins ou photos de leurs starlettes au mur de leurs casernes. Une traduction littérale de “Pin-Up” en français serait donc : “Punaise enfoncée”, ce qui n’a rien à voir et nous éloigne du sujet… Pin-Up donc, continuerons-nous de les appeler, ces créatures de rêves qui permettaient aux soldats d’échapper par instants à leur triste condition…
Les GI’s punaisaient (en anglais “To pin-up”) les dessins ou photos de leurs starlettes au mur de leurs casernes. Une traduction littérale de “Pin-Up” en français serait donc : “Punaise enfoncée”, ce qui n’a rien à voir et nous éloigne du sujet… Pin-Up donc, continuerons-nous de les appeler, ces créatures de rêves qui permettaient aux soldats d’échapper par instants à leur triste condition…
Les GI’s punaisaient (en anglais “To pin-up”) les dessins ou photos de leurs starlettes au mur de leurs casernes. Une traduction littérale de “Pin-Up” en français serait donc : “Punaise enfoncée”, ce qui n’a rien à voir et nous éloigne du sujet… Pin-Up donc, continuerons-nous de les appeler, ces créatures de rêves qui permettaient aux soldats d’échapper par instants à leur triste condition…
Les GI’s punaisaient (en anglais “To pin-up”) les dessins ou photos de leurs starlettes au mur de leurs casernes. Une traduction littérale de “Pin-Up” en français serait donc : “Punaise enfoncée”, ce qui n’a rien à voir et nous éloigne du sujet… Pin-Up donc, continuerons-nous de les appeler, ces créatures de rêves qui permettaient aux soldats d’échapper par instants à leur triste condition…
Les GI’s punaisaient (en anglais “To pin-up”) les dessins ou photos de leurs starlettes au mur de leurs casernes. Une traduction littérale de “Pin-Up” en français serait donc : “Punaise enfoncée”, ce qui n’a rien à voir et nous éloigne du sujet… Pin-Up donc, continuerons-nous de les appeler, ces créatures de rêves qui permettaient aux soldats d’échapper par instants à leur triste condition…