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  • Auteurs: Agnès Desarthe
  • Auteurs: Lili S. Junod
Le poulet fermier (Agnès Desarthe) - Collection Animax - L'école des loisirs
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Le poulet fermier (Agnès Desarthe)

2,74 €
Chez les Dumordu, on est fermier de père en fils. C’est ce qu’Archibald Dumordu a déclaré à son fils Douglas, juste avant de mourir. Malheureusement, il n’a rien eu le temps de lui dire d’autre. Douglas veut bien devenir fermier, mais il ne sait pas traire les vaches, il croit que les carottes poussent dans les arbres, et ne peut conduire le tracteur qu’en marche arrière. Les fermiers des alentours se moquent tous de lui. Le père Tropenjus, c’est certain, ne voudra jamais qu’il épouse sa fille, la charmante Miranda. Heureusement, il y a une chose que Douglas sait faire, c’est parler aux animaux. C’est une chance, car dans son poulailler, il y a un poulet qui s’appelle Ernest, un poulet merveilleux, qui peut transformer sa vie. De 6 à 8 ans.

Les frères chats (Agnès Desarthe)

2,56 €
Un jour, le quartier de Tony et Mario, les frères chats, est vidé de toutes ses souris. Ils peuvent toujours regarder le football à la télé ou lire le journal dans une chaise longue. Mais la chasse aux souris, c'est fini. Tony a alors une idée : pour trouver des souris, il faut trouver des trous. Il décide de s'inscrire au club de golf réservé aux chiens. Tony a tout prévu, le langage chien, le masque de caniche, la traque aux souris dans les trous. Tout prévu, ou presque. De 7 à 9 ans.

N° 1631 - La cavalière de minuit (Lili S. Junod)

3,74 €
Extrait : Juste Delrode vida sa pipe d'un geste familier en la toquant à petits coups secs contre le mur de l'âtre où rougeoyaient les derniers tisons. Son visage boucané par les intempéries, la vie en plein air, les épreuves des dernières années de guerre, reflétait une expression maussade, accentuant la dureté du regard enfoncé et des lèvres minces qui jamais ne souriaient. Sa femme, la Maria, effacée, humble, toujours craintive devant ce maître redouté qui, jadis, l'avait choisie pour sa beauté, alors qu'elle n'était qu'une pauvre orpheline élevée par les soeurs, épiait en tremblant les signes de contrariété silencieuse qu'elle voyait figer les traits de Juste. Sa bonne figure douce gardait malgré le temps et l'âge une finesse exquise, le même bleu pur des yeux, un bleu de vitrail au soleil, étonnamment clair. Soudain tonna la voix de son homme : — Dis donc, la Maria ! Sais-tu ben qu'not'fille a fait tant d'progrès qu'la maîtresse d'école voudrait qu'al aille finir d'étudier dans eun'ville de par ici ? Ça m'plaît point, j'te l'dis tout franc…
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