Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Agnès Desarthe
  • Auteurs: Louis Noël
Le poulet fermier (Agnès Desarthe) - Collection Animax - L'école des loisirs
  • Nouveau

Le poulet fermier (Agnès Desarthe)

2,74 €
Chez les Dumordu, on est fermier de père en fils. C’est ce qu’Archibald Dumordu a déclaré à son fils Douglas, juste avant de mourir. Malheureusement, il n’a rien eu le temps de lui dire d’autre. Douglas veut bien devenir fermier, mais il ne sait pas traire les vaches, il croit que les carottes poussent dans les arbres, et ne peut conduire le tracteur qu’en marche arrière. Les fermiers des alentours se moquent tous de lui. Le père Tropenjus, c’est certain, ne voudra jamais qu’il épouse sa fille, la charmante Miranda. Heureusement, il y a une chose que Douglas sait faire, c’est parler aux animaux. C’est une chance, car dans son poulailler, il y a un poulet qui s’appelle Ernest, un poulet merveilleux, qui peut transformer sa vie. De 6 à 8 ans.

Les frères chats (Agnès Desarthe)

2,56 €
Un jour, le quartier de Tony et Mario, les frères chats, est vidé de toutes ses souris. Ils peuvent toujours regarder le football à la télé ou lire le journal dans une chaise longue. Mais la chasse aux souris, c'est fini. Tony a alors une idée : pour trouver des souris, il faut trouver des trous. Il décide de s'inscrire au club de golf réservé aux chiens. Tony a tout prévu, le langage chien, le masque de caniche, la traque aux souris dans les trous. Tout prévu, ou presque. De 7 à 9 ans.

N° 32 - Mademoiselle de Sérances (Louis Noël)

8,00 €
Extrait : Dix heures venaient de sonner au cartel du grand salon ; la porte donnant dans la salle à manger s'ouvrit et le maître d'hôtel annonça : — Mademoiselle est servie. — Vite à table, Mesdames, dit joyeusement le comte Hubert de Sérances en offrant le bras à la vieille tante Euphrosine, il faut qu'à onze heures nous soyons en selle. J'espère vous présenter tout à l'heure un gaillard capable de nous faire voir du pays. Le comte, secondé par sa fille Françoise depuis la mort de sa femme, recevait comme on ne reçoit plus guère auourd'hui, souvent parce qu'on ne peut pas, quelquefois parce qu'on ne veut pas s'en donner la peine. Au centre de la table trônait sur un vaste plat d'argent une énorme hure de sanglier toute bardée de truffes. Tout autour s'arrondissait une jonchée de chrysanthèmes pourpre et chamois, couleurs de l'équipage ; parmi les fleurs galopait toute une meute en biscuit de Sèvres. Devant chaque convive une série de quatre verres s'emplissait peu à peu de vins couleur de topaze ou de rubis ; seul le maître de maison ne buvait que de l'eau…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire