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  • Auteurs: Agnès Laurent
  • Auteurs: Joseph Delaney
  • Auteurs: Michel Nour

L'épouvanteur T1 : L'apprenti Épouvanteur (Joseph Delaney)

4,80 €
« L'Epouvanteur a eu de nombreux apprentis, me dit maman. Mais peu ont achevé leur formation. Et ceux qui y sont parvenus sont loin d'être à la hauteur. Ils sont fragiles, veules ou lâches. Ils se font payer fort cher de bien maigres services. Il ne reste que toi, mon fils. Tu es notre dernière chance, notre dernier espoir. Il faut que quelqu'un le fasse. Il faut que quelqu'un se dresse contre les forces obscures. Tu es le seul qui en soit capable. » Thomas Ward, le septième fils d'un septième fils, devient l'apprenti de l'Epouvanteur du comté. Son maître est très exigeant. Thomas doit apprendre à tenir les spectres à distance, à entraver les gobelins, à empêcher les sorcières de nuire… Cependant, il libère involontairement Mère Malkin, la sorcière la plus maléfique qui soit, et l'horreur commence… L'évocation des forfaits de la sorcière vampire et la narration de meurtres sanglants dans une ambiance sombre et inquiétante font réserver cet ouvrage à des lecteurs avertis.

N° 2989 - L'assassin aimait les rousses d'après le roman d'Agnès Laurent

2,90 €
Extrait : La fille marchait à pas coulants, bottée comme un amazone. Sa jupe courte laissait voir ses cuisses drues. Dans l'échancrure du corsage, la poitrine bombait, batailleuse. Une douce nuit de mai exaspérait les odeurs du bois. De temps en temps, la fille lançait un coup d'oeil professionnel vers la route où naissaient les lucioles des phares. Mais les voitures filaient sans ralentir. …

N° 505 - Je t'adore ! (Michel Nour)

2,92 €
Extrait : Devant la porte du dancing, les deux jeunes gens s'arrêtèrent et Maurice Féraud tendit la main à son ami Raymond Landier. — Tu n'entres pas un instant avec moi ? demanda celui-ci. Voyons, pour une fois, laisse-toi tenter ! Maurice secoua la tête. — Je ne suis nullement tenté, je t'assure. — Tu détestes la danse ! — Je ne la déteste pas, mais je n'éprouve pas comme toi un plaisir de se trémousser comme tu dis, protesta vivement Raymond, il y a aussi celui de tenir dans ses bras une jolie créature qu'emporte l'ivresse du  rythme et qu'on sent contre soi, frémissante, palpitante, offerte comme une fleur qui vous grise de sa beauté et de son parfum…
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