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Il y a 4 produits.

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  • Auteurs: Alain Decaux
  • Auteurs: Anne Pierjean
  • Auteurs: Jean Glachant

N° 660 - Le prince impérial, cet autre Aiglon (Alain Decaux)

4,90 €
Rarement héritier d'un trône fut aussi populaire à Paris. Quand le « Petit Prince » se promenait au jardin des Tuileries dans sa voiture tirée par une chèvre, les Parisiens s'attroupaient et l'acclamaient. La défaite de 1870 le contraignit à l'exil. Désormais « cet autre Aiglon » ne rêve plus que de la France… Pour Garçons et Filles de 12 à 15 ans.

Stève et le chien Sorcier (Anne Pierjean) - Castor Poche N° 286

2,74 €
Au cours d'une partie de pêche au bord de la Drôme, Stève et son inséparable ami Pat rencontrent Carême le clochard. Le vieil homme, qui vit dans une cabane au bord du fleuve avec son chien, Sorcier, fait de surprenantes révélations aux deux garçons. Il prétend posséder un trésor dont il serait le seul, avec son chien, à connaître la cachette. Quelques jours plus tard, Carême est victime d'une agression… Il faudra toute l'ingéniosité de Pat, de Stève, et de sa jeune soeur Sandrine pour éclaircir cette étrange affaire.

Le temps de Julie (Anne Pierjean) - Castor Poche N° 179

2,15 €
C'est à la Saint-Andéol, un soir de fête et de feu d'artifice, que Julie rencontre Raphaël. Quelques jours plus tard, Julie pédale joyeusement en direction de la ferme du Riou où vivent Raphaël et ses parents. Au bois de chênes, Raphaël lui demande de devenir sa femme et Julie, malgré ses dix-sept ans et les huit ans qui les séparent, accepte. Elle a confiance en la femme qu'elle sera. Les années de bonheur passent vite. Julie découvre avec Raphaël la joie d'attendre un enfant, elle a tout juste vingt ans. Mais la guerre éclate et Raphaël doit partir…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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