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  • Auteurs: Alain Decaux
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Laurie Verlay

N° 660 - Le prince impérial, cet autre Aiglon (Alain Decaux)

4,90 €
Rarement héritier d'un trône fut aussi populaire à Paris. Quand le « Petit Prince » se promenait au jardin des Tuileries dans sa voiture tirée par une chèvre, les Parisiens s'attroupaient et l'acclamaient. La défaite de 1870 le contraignit à l'exil. Désormais « cet autre Aiglon » ne rêve plus que de la France… Pour Garçons et Filles de 12 à 15 ans.

N° 3311 - Le bal de Mexico (Laurie Verlay) - Quand le diable ricane (Pierre Salva)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3311 à détacher Extraits  : Le bal de Mexico  d'après le roman de Laurie Verlay L'année finissait en beauté, par un froid vif, sous un ciel clair… Florence soupira et traversa le pont Alexandre III. Pour la première fois, elle allait passer ces heures de fête sans réveillon, sans visage ami ou aimé près d'elle. Comme elle s'engageait dans l'avenue Franklin Roosevelt, les réverbères s'allumèrent. Des guirlandes d'ampoules électriques brillèrent sur les branches des arbres bordant les Champs-Elysées… Quand le diable ricane  d'après le roman policier de Pierre Salva Adrien avait résolu de passer a nuit sur le voilier, ancré à deux cents mètres de la rive… Patrice pourrait donc rester un peu, après le départ des autres invités. A cette pensée, Sabine sentit une brusque chaleur l'envahir. Pour la première fois, à quarante ans, elle comprenait pleinement le sens de l'expression populaire : « avoir quelqu'un dans la peau »…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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