Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Alain Martial
  • Auteurs: Daniel Defoe
  • Auteurs: Lise Mélinand
L'ennemi secret (Alain Martial) - Police et Mystère N° 22 - Ferenczi
  • Nouveau

N° 22 - L'ennemi secret (Alain Martial)

5,50 €
Extrait : LE MIROIR DE VENISE Il était huit heures du soir, Michel Vaudreuil achevait de s'habiller pour se rendre au théâtre. Adar Zograpoulo le banquier grec l'avait invité. Une loge à l'Opéra. Il venait de mettre une perle à son plastron immaculé et s'apprêta à fixer le noeud blanc de ses doigts habiles. Sur son lit on voyait le gilet neigeux et l'habit impeccables qui, tout à l'heure, achèveraient son élégante silhouette. La grande pièce était plongée dans la pénombre et le silence. Les fenêtres fermées, les lourds rideaux de velours complètement tirés, une lumière douce provenant de la lampe-veilleuse composaient une atmosphère de tranquillité et de quiétude. Quand il fut prêt, il passa dans le studio, meublé avec un goût délicat et raffiné. Une bouffée d'air le frappa au visage. Elle provenait du balcon. La porte-fenêtre était ouverte à deux battants. — Il y a de l'orage dans l'air, murmura-t-il en traversant la pièce pour clore la fenêtre, puis il revint vers un petit bahut sur lequel on voyait une carafe de cristal, entourée de verres, au milieu d'un plateau d'argent. Ses gestes étaient aisés…

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire