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  • Auteurs: Alec d'Ayrolles
  • Auteurs: Carla Cassidy
  • Auteurs: France Noël

N° 156 - La mémoire piégée (Elle James) - Bouleversantes retrouvailles (Carla Cassidy)

4,05 €
La mémoire piégée (Ella James) Dawson Gray sera votre garde du corps… Savvy se réveille à l'hôpital, bouleversée : les médecins lui apprennent qu'elle est amnésique, mais aussi accusée d'avoir tué un homme. En attendant que l'enquête aboutisse, elle sera surveillée vingt-quatre heures sur vingt-quatre par un parfait inconnu. Un inconnu pas plus ravi qu'elle par cette situation… Dawson se montre particulièrement désagréable à son égard. Même quand elle lui dit qu'elle ne peut pas être une meurtrière et le supplie de la croire. Parce qu'elle est piégée par sa mémoire défaillante… Bouleversantes retrouvailles (Carla Cassidy) Partout en ville, un vandale a collé des affiches l'accusant de maltraiter les enfants qu'on lui confie, à la garderie municipale... Portia est atterrée. Qui cherche ainsi à détruire sa vie ? Déterminée, révoltée, elle se rend au commissariat pour porter plainte… sans se douter qu'elle va tomber sur le beau Caleb Grayson. Caleb, son amour de jeunesse, qu'elle n'a jamais pu oublier et qui lui apprend qu'il remplace pour quelque temps le shérif habituel. A peine trois jours plus tard, elle est agressée. Caleb lui propose alors sa protection, et s'installe chez elle pour découvrir qui cherche à lui nuire…

La Saga des Baker (Carla Cassidy)

2,96 €
Sur les traces de leur frère disparu, trois jeunes femmes découvrent l'amour… Des jumeaux en cadeau : Marraine de deux nourrissons orphelins, Carolyn Baker est décidée à les élever. Elle se rend donc à Casey's Corner, où vit le parrain des enfants… Beau étant shérif, elle espère aussi qu'il l'aidera à retrouver Sam, son frère disparu, qui est accusé de l'assassinat de leur père… Une maman en or : Bonnie Baker rejoint sa soeur à Casey's Corner, espérant qu'elle en saura plus sur la disparition de Sam. Dès son arrivée, elle se fait arrêter pour excès de vitesse par un policier fort séduisant et… incorruptible, qui insiste pour l'escorter, et ne semble plus vouloir la lâcher d'une semelle ! Héritière… et célibataire : Pour retrouver son frère Sam. Colleen Baker fait appel à Gideon Graves, le meilleur détective privé de la ville. Craignant que ce dernier s'en prenne à sa fortune, elle lui ment sur son identité d'héritière. Mais Gideon ne tarde pas à découvrir la supercherie… Le retour de Sam Baker : Poursuivi par la police pour un meurtre qu'il n'a pas commis, Sam Baker a fini par trouver refuge… dans le grenier de sa propre maison ! Nul n'est au courant de sa présence, pas même ses soeurs… Une question le taraude : comment regagner la confiance de Julianne, sa femme, alors qu'il l'a abandonnée quatre mois auparavant ?

N° 1949 - Un mari parfait (Carla Cassidy)

2,56 €
Persuadée que l'homme et le père idéal n'existent pas, Tess décide d'avoir recours à l'insémination artificielle et d'élever seule son enfant si, comme elle l'espère de tout coeur, l'intervention réussit. Mais lorsque Tanner, la frère de sa colocataire, fait irruption dans sa vie, tous ses projets et ses certitudes sont bouleversés. Car, à présent qu'elle est certaine d'avoir trouvé l'homme de ses rêves, Tess n'est plus aussi sûre de vouloir élever un bébé sans son père… Mais peut-être est-il déjà trop tard ?

N° 1788 - Un instant d'émotion (Carla Cassidy)

2,56 €
Alors qu'elle est sur le point d'avouer à Clint, son meilleur ami, les sentiments qu'elle éprouve depuis toujours pour lui, Sherry apprend que ce dernier est le père d'une fillette âgée de quelques mois, et qu'il ne lui a jamais parlé de cette enfant ! Déroutée, blessée, la jeune femme s'interroge : Clint aurait-il entretenu, sans le lui dire, une liaison ? Et, si tel est le cas, pourquoi ne lui a-t-il jamais parlé de la mère du bébé ? Décidant de repousser le moment de sa déclaration, la jeune femme se promet de découvrir la vérité sur cet enfant...

N° 1493 - Pourquoi refuser le bonheur ? (France Noël)

3,56 €
Extrait : Les conversations qui s'étaient tues pendant que Gilles Lorrain, debout sur l'étroit guéridon du bar, exécutait au son du pick-up un swing sauvage et désordonné qui tenait beaucoup plus de la crise d'épilepsie que de la danse, reprirent de plus belle avec des cris, des huées et des applaudissements lorsque le jeune homme sauta à terre et, tout essoufflé, se jeta dans un fauteuil. …

N° 1649 - Un soir... sur le port (France Noël)

3,74 €
Extrait : La brume était si dense que les lumières des bateaux semblaient danser à travers des épaisseurs de coton. Un petit crachin glacé pénétrait partout plus sûrement qu'une grosse pluie sans ruse. François releva le col de son imperméable, puis il s'arrêta pour bourrer et allumer sa pipe. Un instant il dut lutter contre le vent qui faisait vaciller la flamme de l'allumette, il jura entre ses dents puis se remit en route, les deux mains dans les poches, d'une allure nonchalante de promeneur. La nuit était complètement tombée, une de ces nuits hostiles et brumeuses, au cours desquelles la solitude semble plus amère. François s'arrêta contre la porte éclairée d'un café pour regarder sa montre. Il n'était pas encore neuf heures. Il avait toute la soirée devant lui. Il se demanda ce qu'il pourrait faire pour tuer le temps. Les affiches lumineuses d'un cinéma l'attirèrent. Il s'approcha mais constata qu'on y projetait le même film qu'il avait vu annoncé l'avant-veille dans une salle de son quartier à Paris…

N° 1718 - Une vie sans histoire (France Noël)

4,50 €
Extrait : Les cloches de l'église annoncèrent la sortie de la grand-messe ; les enfants du catéchisme s'agitèrent sur leurs bancs et tournèrent la tête vers la porte du fond qu'on venait d'ouvrir et par où l'on voyait un coin de ciel gris. Le claquoir de « M. l'Abbé » les rappela à l'ordre et les têtes se retournèrent vers le maître autel. Un coup de claquoir fit lever les enfants comme si l'on faisait jouer un ressort. Un rapide signe de croix qui semblait plus destiné à chasser les mouches qu'à affirmer leur foi chrétienne et les petits pieds chaussés de gros souliers d'hiver martelèrent les dalles de l'église. Sur la place, les gens s'assemblaient et les conversations de tous les dimanches reprenaient. On s'interrogeait sur l'emploi du temps de l'après-midi ; on se demandait des nouvelles ; on commentait le sermon virulent de M. le Curé qui avait stigmatisé les « tièdes » qui viennent à l'église plus pour faire admirer leur toilette dominicale que pour honorer et prier le Seigneur. On se répétait des phrases du sermon. Personne n'avait pris paroles du prêtre pour soi, comme il arrive toujours en pareil cas…

N° 1628 - Le plaisir et le bonheur (France Noël)

3,74 €
Extrait : L'auto roulait à vive allure sur le petit chemin bordé d'oliviers. Sur la droite, on apercevait la ligne étincelante de la mer. Les cigales chantaient et leur cri strident, monotone, semblait la chanson même de cette terre provençale si belle et si riche dans sa pureté géométrique. Les mains sur le volant, le jeune conducteur jeta sur la droite un regard d'ivresse ; la vue de la mer à l'horizon, bleue comme sur les cartes postales à bon marché, dont on a toujours tendance à croire qu'elles exagèrent les couleurs, lui versait une allégresse qui lui donnait envie de chanter et de crier de joie physique, comme un enfant. Il reporta son regard sur le petit chemin de terre rouge, si étroit qu'il devait rouler doucement pour ne pas accrocher au passage les troncs argentés des oliviers, et se mit à siffler une chanson d'étudiant. Il se sentait joyeux, plein d'entrain pour commencer la vie, la vraie vie qui l'attendait maintenant que ses études étaient terminées. Il s'étonna de voir soudain sur le chemin, ordinairement désert, une silhouette de femme…

N° 1545 - Le gardien du bonheur (Alec D'Ayrolles)

3,74 €
Extrait : Tout ce que l'île comptait de valide - hommes, femmes, enfants ou vieillards - était massé autour de la crique, pour suivre la « compétition » ; c'est dire qu'il n'y avait, pratiquement, personne dans les maisons, car les habitants de Motu-Ahi ne sont pour ainsi dire jamais malades (il n'y a même pas de médecin dans l'île : on en a fait venir un, dans les cas extrêmes, de Papeete) ; ils atteignent facilement un âge biblique, puis, un beau jour, jugeant qu'il serait indiscret d'encombrer plus longtemps la famille de leur inutile personne, ils s'endorment à jamais. Oui, les Motu-Ahiens (c'est ainsi, je pense, qu'il convient de nommer les « naturels » de l'île) vivent vieux, et ils vivent heureux, en profitant de l'éternel printemps du climat polynésien et en se contentant, avec sagesse, des poissons qui viennent tout seuls dans les filets, du gibier qui veut bien se suicider dans les pièges, et les fruits — oranges, bananes, noix de coco et mayorés … — qui poussent en telle abondance qu'il suffit de s'amuser à grimper aux arbres pour en avoir non seulement assez pour son propre ravitaillement mais, même pour en exporter un peu…

N° 1530 - Le démon du printemps (France Noël)

3,74 €
Extrait : Assise sur le bord du sentier, les pieds ballants au-dessus du vide, la jeune femme contemplait la magnificence du couchant. Il y avait dans ce spectacle quelque chose qui lui serrait la gorge et lui donnait une vague et en somme assez agréable mélancolie. Les beaux spectacles que la nature prodigue à ceux qui savent les voir l'avaient, de tout temps, totalement exaltée. — Quelle enfant je fais ! murmura-t-elle pour elle-même. J'ailes larmes aux yeux pour un coucher de soleil réussi, pour un clair de lune romantique ou même simplement pour l'odeur puissante des seringas dans la nuit, exactement comme lorsque j'avais quinze ans. Il serait tout de même temps que cela se passât ! Malgré l'ironie qu'elle s'efforçait d'exercer contre elle-même, elle savait très bien, qu'au fond, elle ne souhaitait pas « que cela passât ». Il lui arrivait parfois d'envier les êtres qui traversent la vie sans rien ressentir que de superficiel car, disait-elle, « ceux-là souffrent moins… »…

N° 1514 - Son prince charmant (France Noël)

3,05 €
Extrait : La jeune fille déposa sur le sol sa charge de bois et frotta l'une contre l'autre ses mains violacées par le froid. Une mèche de cheveux bouclés s'échappait du capuchon de bure qui lui couvrait la tête et pendait entre ses sourcils ; elle la releva d'un geste machinal et essuya, du dos de sa main, son visage mouillé de pluie. Derrière elle, dans le chemin défoncé, ses sabots avaient laissé des empreintes profondes, emplies d'une eau grise et boueuse. La pluie ne cessait pas et le vent qui soufflait en rafales faisait gémir les sapins d'une longue plainte lugubre et presque humaine. La jeune fille frissonné. La distance qui lui restait encore à parcourir lui paraissait accablante. Elle avait froid, le bois était lourd, le soir tombait et le silence environnant, seulement troublé par le bruit de l'eau et du vent, avait quelque chose d'angoissant auquel elle ne pourrait jamais s'habituer. La pèlerine de drap grossier qui la couvrait presque jusqu'aux chevilles était imbibée d'eau, et elle se sentait glacée jusqu'aux os…

Passion infernale (Carla Cassidy)

2,15 €
Dans le manoir battu par les vents, Kelly prenait son café du soir, quand, derrière la fenêtre criblée de pluie, lui apparut soudain un visage, celui de Randolf Weathers, l'ancien propriétaire du manoir, la grande star du cinéma muet. Elle lâcha sa tasse de café, qui se brisa en mille morceaux. Non, c'était impossible ! Randolf était mort ! Il s'était suicidé bien des années plus tôt, après avoir assassiné sa femme qu'il adorait. Alors , Comment pouvait-il la fixer maintenant avec ces yeux noirs et brûlants ? Devenait-elle folle ? Elle marcha jusqu'à la porte d'entrée, qu'elle ouvrit d'une main tremblante... pour découvrir, non pas un fantôme, mais... Dalton Waverly, le propre petit fils de Randolf Weathers, qu'elle avait accepté de loger quelque temps au manoir. Parfait sosie de son grand père, il semblait en avoir hérité aussi l'humeur taciturne, et cette sombre violence qui avait précipité Randolf dans la folie meurtrière. Kelly frissonna. Il fallait absolument empêcher que pendant son séjour, Dalton s'approche trop près d'elle. Où trouver, sinon, le moyen d'échapper aux flammes de l'enfer qu'elle voyait se refléter dans les yeux de Dalton... comme si, par instants, il abritait l'âme noir de son aïeul ?
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