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  • Auteurs: Alec d'Ayrolles
  • Auteurs: Jacques Lob
  • Auteurs: Liz Ireland

Blanche Épiphanie T1 (Jacques Lob, Georges Pichard)

8,95 €
Blanche Épiphanie, la petite porteuse de chèques Mais quelle est donc cette beauté frêle et émouvante, pauvrement vêtue, qui trottine d'un pas vif dans les beaux quartiers ? C'est Blanche Épiphanie, une enfant de 17 ans, orpheline de naissance, qui va livrer les chèques du banquier Adolphus pour un salaire de misère tout en essayant de protéger sa vertu…

N° 1352 - Un parfum d'autrefois (Liz Ireland)

2,15 €
Linda Potter ne connaît rien aux enfants, et n'a jamais ressenti le besoin de combler cette lacune. Une regrettable erreur, qu'elle s'apprête aujourd'hui à payer très cher ! Car à peine est-elle arrivée chez sa soeur, pour une semaine de vacances, que cette dernière doit lui fausser compagnie, la laissant seule avec ses trois enfants. Des enfants qui réclament leur mère, et n'apprécient pas du tout d'être abandonnés à la garde d'une tante quasiment inconnue. Pour Linda, la semaine s'annonce catastrophique... D'autant que, au moment le plus critique, apparaît Marc Howell, son amour d'adolescente, qu'elle a perdu de vue après une mémorable dispute. Comme par hasard, Marc, lui, n'a aucun mal à amadouer les petits. De quoi énerver davantage une Linda totalement dépassée par les événements, qui se serait bien passée de ce témoin, lors de sa déconfiture...

N° 1545 - Le gardien du bonheur (Alec D'Ayrolles)

3,74 €
Extrait : Tout ce que l'île comptait de valide - hommes, femmes, enfants ou vieillards - était massé autour de la crique, pour suivre la « compétition » ; c'est dire qu'il n'y avait, pratiquement, personne dans les maisons, car les habitants de Motu-Ahi ne sont pour ainsi dire jamais malades (il n'y a même pas de médecin dans l'île : on en a fait venir un, dans les cas extrêmes, de Papeete) ; ils atteignent facilement un âge biblique, puis, un beau jour, jugeant qu'il serait indiscret d'encombrer plus longtemps la famille de leur inutile personne, ils s'endorment à jamais. Oui, les Motu-Ahiens (c'est ainsi, je pense, qu'il convient de nommer les « naturels » de l'île) vivent vieux, et ils vivent heureux, en profitant de l'éternel printemps du climat polynésien et en se contentant, avec sagesse, des poissons qui viennent tout seuls dans les filets, du gibier qui veut bien se suicider dans les pièges, et les fruits — oranges, bananes, noix de coco et mayorés … — qui poussent en telle abondance qu'il suffit de s'amuser à grimper aux arbres pour en avoir non seulement assez pour son propre ravitaillement mais, même pour en exporter un peu…
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