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  • Auteurs: Alexandre Dumas
  • Auteurs: Jean Vignaud

N° 371 - Le comte de Monte-Cristo (Alexandre Dumas)

3,42 €
Roman dense, étourdissant, foisonnant en épisodes surprenants et en personnages inoubliables. Une figure, en particulier, s'impose à nous par sa démesure même, tempérée pourtant d'une profonde humanité, celle du comte de Monte-Cristo. Victime d'une monstrueuse machination, un jeune marin est emprisonné au château d'If, où il se lie d'amitié avec un fascinant personnage, l'abbé Faria. Après quatorze années de captivité, Edmond réussira-t-il à vaincre l'impossible et à s'évader de cette austère forteresse ?

N° 28 - Un voyage à la lune et autres contes (Alexandre Dumas)

4,96 €
Après la Forêt enchantée et le Roi des taupes et sa fille, voici un nouveau recueil de contes d'Alexandre Dumas. On y voit un brave homme s'envoler sur le dos d'un aigle pour un surprenant et périlleux voyage dans la lune, une oie qui exauce tous les voeux d'un garçon paresseux, et Carl, l'égoïste, qui sera puni par un gnome redresseur de torts…

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
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