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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Claude Fayet

N° 387 - Le chemin du retour (Claude Fayet)

2,50 €
Denis Morlay, parce qu'il était pauvre, a refusé l'amour de Rémine de Barjac. Il est parti en Amérique. Lorsqu'il revient en France, fortune faite, il apprend que Rémine a épousé Robert de Saint-Vallier. Un hasard les remet en présence au cours d'une dramatique soirée. Denis constate que la jeune femme n'est pas heureuse. Elle redoute les brutalités de son mari, alcoolique et à demi fou. Cette même nuit, Robert est assassiné et Rémine accusée de meurtre... Le témoignage de Denis la sauve ! Elle disparaîtra mystérieusement après s'être réfugiée en Suisse chez des amis. L'un deux s'en montre très affecté, Claude, un grand malade, désespérément épris de Rémine. Mais quand Denis la retrouve et veut l'amener au chevet de Claude, elle refuse par crainte de subir à nouveau l'emprise du passé. Une question reste pendante : qui a tué Robert ? Fût-ce en raison de l'amour ancien ? La lumière jaillira-t-elle afin que chacun retrouve sa voie et son pays ? Par un autre chemin...

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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