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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Denis Bajram
  • Auteurs: Johannes Udhen

N° 254 - Claudia (Johannes Udhen)

2,95 €
Extrait : — Il fait une chaleur intolérable ! Et dire que tu as eu l'idée ridicule de venir ici et de choisir cette table en plein soleil, s'écria d'une voix acariâtre Mme Birkner, née von Castelat. — Une idée ridicule ! Vraiment ? Les enfants voulaient se baigner, toi aussi d'ailleurs, et vous trouvez qu'il y a trop de monde sur la plage et aux bains d'Undosa, tu te plains toujours de la chaleur ! Je ne connais pas à Starnberg d'autres lieux où l'on puisse se baigner. Mais si tu veux partir, cela m'est égal. Appelle les enfants, répondit M. Birkner exaspéré par les continuelles récriminations de son épouse. — Ah ! tu as le chic pour gâcher les vacances ! lui lança-t-elle, furieuse, en se levant pour aller à la recherche de ses filles. La mine renfrognée, Werner Birkner la suivit des yeux. Pour lui, une chose était certaine : ce n'était évidemment pas lui qui avait le « chic » pour gâcher les vacances !…

N° 254 - Claudia (Johannes Udhen)

2,95 €
Extrait : — Il fait une chaleur intolérable ! Et dire que tu as eu l'idée ridicule de venir ici et de choisir cette table en plein soleil, s'écria d'une voix acariâtre Mme Birkner, née von Castelat. — Une idée ridicule ! Vraiment ? Les enfants voulaient se baigner, toi aussi d'ailleurs, et vous trouvez qu'il y a trop de monde sur la plage et aux bains d'Undosa, tu te plains toujours de la chaleur ! Je ne connais pas à Starnberg d'autres lieux où l'on puisse se baigner. Mais si tu veux partir, cela m'est égal. Appelle les enfants, répondit M. Birkner exaspéré par les continuelles récriminations de son épouse. — Ah ! tu as le chic pour gâcher les vacances ! lui lança-t-elle, furieuse, en se levant pour aller à la recherche de ses filles. La mine renfrognée, Werner Birkner la suivit des yeux. Pour lui, une chose était certaine : ce n'était évidemment pas lui qui avait le « chic » pour gâcher les vacances !…

Cryozone T1 : Sueurs froides (Thierry Cailleteau, Denis Bajram)

8,50 €
A bord de l'U.N.S.S. Neil Alden Armstrong, premier vaisseau terrien lancé pour colonier une planète étrangère, 9600 hommes et femmes reposent en stase cryogénique afin de supporter les 20 années du voyage, tandis qu'une équipe de 400 permanents veille sur eux et sur la navigation. Mais une explosition à bord bouleverse la routine du voyage en endommageant les systèmes d'animation suspendue. Afin de préserver la vie des colons, l'équipage se voit contraint de les réveiller d'urgence, sans respecter les procédures de sécurité. En reprenant conscience, ceux-ci ont faim… Faim de chair humaine !

Cryozone T2 : Syndrôme Z (Thierry Cailleteau, Denis Bajram)

9,95 €
A bord de l'U.N.S.S. Neil Alden Armstrong, premier vaisseau terrien lancé pour colonier une planète étrangère, 9600 hommes et femmes reposent en stase cryogénique afin de supporter les 20 années du voyage, tandis qu'une équipe de 400 permanents veille sur eux et sur la navigation. Mais une explosition à bord bouleverse la routine du voyage en endommageant les systèmes d'animation suspendue. Afin de préserver la vie des colons, l'équipage se voit contraint de les réveiller d'urgence, sans respecter les procédures de sécurité. En reprenant conscience, ceux-ci ont faim… Faim de chair humaine !

Universal War One T1: La genèse (Denis Bajram)

8,00 €
Entre Saturne et Jupiter, au coeur des jeunes Etats les plus prospères de la Fédération des Terres Unies, la troisième flotte de L'United Earthes Force veillait inlassablement sur la périphérie du système solaire. Elle assurait par son gigantisme un incroyable sentiment de sécurité à ses habitants. Mais LE MUR est apparu. Si grand, si sombre. Insondable. Ici commence la Première Guerre Universelle

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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