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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Gary Paulsen
  • Auteurs: Marie-Louise Assada

L'homme aux peaux de renards (Gary Paulsen)

3,50 €
Lorsqu'on est surpris dans une tempête de neige à la nuit tombante en pleine forêt, à des dizaines de kilomètres du village le plus proche, la vue d'une cabane au milieu d'une clairière, avec une cheminée qui fume, a quelque chose de providentiel ! Malgré tout, ce fut avec une certaine appréhension que je frappai ce soir-là à la porte de l'homme aux peaux de renards. Que pouvait bien avoir à cacher l'occupant de cette cabane pour vivre si loin de la civilisation ? Le secret de l'homme aux peaux de renards, je n'allais pas tarder à le découvrir. Dès qu'il m'ouvrit, j'eus un mouvement de recul et faillis repartir en courant dans le blizzard. J'ai mis du temps à m'y faire, à son secret. Mais je n'ai pas eu à le regretter, car il devait changer ma vie…

N° 3023 - L'Aigle sur la Sierra d'après le roman de Marie-Louise Assada

3,75 €
Quel destin fait se rencontrer, dans le tumulte de la guerre d'Espagne, la jeune et belle Castillane Guadalupe de Valmesada et le vaillant commandant Jean Aubry, fidèle serviteur de Napoléon ? Par le plus grand des hasards, cette séduisante aristocrate — peut-être une espionne — est amenée à sauver la vie de l'officier français qu'elle vient à peine de connaître. Peu de temps après, c'est ce dernier qui la tire d'une situation qui aurait pu lui être fatale. Quoique ennemis farouches, leurs coeurs se mettent à battre au même rythme, tandis que la guerre, impitoyable, continue ses ravages. Mais Guadalupe n'est-elle pas mariée à don Inigo, chef d'une bande de guérilleros ? Avec un art consommé, Marie-Louise Assada, l'auteur de L'AIGLE SUR LA SIERRA, nous livre un récit palpitant de cette tranche d'histoire de l'Empire.

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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