Accueil

Accueil

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Gayle Wilson

N° 369 - Et la mort nous séparera (Gayle Wilson)

3,50 €
Sur les marches du tribunal d'où va bientôt sortir Samuel Tate, l'assassin de son fils, Sarah Patterson s'apprête à faire justice. Comment accepter en effet qu'un simple vice de forme permette au monstre qui a tué son enfant de rester impuni ? Et comment accepter surtout que d'autres enfants puissent être un jour victimes de ce serial killer ? Mais alors qu'elle croise le regard de l'homme qui vient de sortir libre du tribunal, et que, le cœur battant, elle s'apprête à appuyer sur la détente, un flic, Mac Donovan, s'interpose. Un flic qui sait comme elle que l'homme est dangereux mais qui ne peut laisser abattre celui que les juges ont relâché. Profitant de la diversion, l'assassin disparaît… Pas pour longtemps : bientôt, en effet, Sarah reçoit des messages angoissants. Des messages qui lui laissent penser, en dépit du scepticisme de la police, que l'assassin n'en a pas fini avec elle. Pourtant, le danger, de plus en plus palpable, se resserre autour de Sarah : son ex-mari, puis un enfant du voisinage, sont à leur tour assassinés. Désormais, Sarah le sait : entre elle et Samuel Tate, la lutte sera sans merci. Et seule la mort les séparera…

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire