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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Hans Christian Andersen

Contes choisis (Hans Christian Andersen) - Folio Junior N° 686

2,56 €
Contes choisis « Je donnerai les trois cents années que j'ai à vivre pour être personne humaine un seul jour. » Une sirène prête aux plus grands sacrifices pour vivre parmi les hommes, un soldat de plomb amoureux d'une danseuse de papier, un sapin qui voudrait voyager… Les héros des contes d'Andersen portent tous en eux le même rêve : trouver leur place dans le monde et être aimés. Mais le courage et l'obstination peuvent-ils triompher des lois du destin ? De 9 à 14 ans. Au sommaire  : La princesse au petit pois, La petite sirène, Les habits neufs de l'empereur, L'intrépide soldat de plomb, Le vilain petit canard, Le sapin, La bergère et le ramoneur, La petite fille aux allumettes, Ib et la petite Christine, Le dernier rêve du vieux chêne (Un conte de Noël).

N° 27 - Les cygnes sauvages et autres Contes de fées (Hans Andersen)

3,92 €
Adaptation par B.H. Gausseron 26 gravures Extrait : Loin, bien loin, là où volent les hirondelles quand c'est l'hiver chez nous, habitait un Roi qui avait onze fils et une fille. La fille avait nom Elise. Les onze frères, étant fils de Roi, étaient Princes, comme leur soeur était Princesse. Ils allaient à l'école, portant chacun une étoile sur la poitrine et un sabre au côté. Ils écrivaient avec des plumes en diamant sur des tablettes d'or, et il leur était aussi facile d'apprendre par coeur que de lire. Leur soeur Elise avait pour siège habituel un petit tabouret en cristal, et elle possédait un livre d'images dont le prix eût suffi à acheter la moitié du royaume de son père…

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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