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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Henri Troyat
Viou (Henri Troyat) - Castor Poche N° 93 - Flammarion
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Viou (Henri Troyat) - Castor Poche N° 93

3,45 €
Viou, huit ans, vit depuis la mort de son père au Puy, chez ses grands-parents. Eloignée de sa mère par les circonstances, la vie lui paraît souvent monotone. Viou, au caractère entier et passionné, lutte sans cesse pour retrouver le souvenir de son père. Ses pensées et sa tendresse se tournent vers sa mère qui travaille à Paris. Entre sa grand-mère pieuse et austère que rien ne distrait de la mémoire de son fils disparu, et son grand-père malicieux mais lointain, Viou s'efforce d'affirmer à la fois son caractère et son goût dévorant de la vie.

La gouvernante française (Henri Troyat) - Castor Poche N° 368

2,74 €
C'est à la veille de la Révolution d'Octobre que Geneviève arrive à Saint-Pétersbourg. Elle a vingt-quatre ans, elle est française, gouvernante des enfants Borissov, et la vie lui semble pleine de promesses. Elle découvre, à travers ses yeux d'étrangère idéaliste, les premiers mois de l'insurrection bolchevique, le dénuement soudain des familles bourgeoises dépossédées de leurs biens, le danger, mais aussi la fougue qui anime les acteurs de ce drame. Geneviève va connaître la passion, la misère, la maladie, la désillusion aussi. Elle va tomber amoureuse de la Russie. Et rien, pas même son retour à Paris, ne pourra plus jamais la détourner de cet amour.

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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