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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: James Oliver Curwood

Les coeurs les plus farouches (James Oliver Curwood)

3,50 €
« Non ! vous ne nous suivrez pas. Car je connais vos sentiments… ». Le sergent Billy Mac Veigh replia le billet et demeura pétrifié. Ainsi cette femme qu'il avait secourue dans la tempête était Isabelle Deane, la femme du meurtrier qu'il recherchait depuis des mois dans les steppes désolées du Grand Nord canadien. Elle fuyait maintenant avec son mari à quelques milles devant lui !…

Les chasseurs de loups (James Oliver Curwood)

4,50 €
Ce roman a pour théâtre le Canada du Nord, le Grand Désert Blanc cher à Curwood, avec ses forêts et ses montagnes neigeuses hantées par les élans, les loups et de féroces tribus indiennes. C'est aux premiers pas d'un jeune Américain dans ce rude univers que nous assistons ici…

Les coeurs les plus farouches (James Oliver Curwood)

2,74 €
« Non ! vous ne nous suivrez pas. Car je connais vos sentiments… ». Le sergent Billy Mac Veigh replia le billet et demeura pétrifié. Ainsi cette femme qu'il avait secourue dans la tempête était Isabelle Deane, la femme du meurtrier qu'il recherchait depuis des mois dans les steppes désolées du Grand Nord canadien. Elle fuyait maintenant avec son mari à quelques milles devant lui !…

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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