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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Kathleen Karr

C'est la vie (Kathleen Karr)

2,92 €
New York, hiver 1882. Jack est orphelin, Mandy s'est sauvée de chez son père, qui la battait. Ils ont respectivement dix et huit ans mais ils vivent comme des grandes personnes. Pour avoir de quoi manger, ils cirent des chaussures et vendent des journaux, quitte à clamer que la Reine Victoria vient de mourir pour appâter les passants. Ils se font embaucher à l'usine, où l'on travaille onze heures par jour, avec le risque de se faire broyer les doigts par le métier à tisser. Ils dorment où ils peuvent, l'essentiel est de ne pas se quitter. Parfois, des adultes se mettent en travers de leur route. Ils les adoptent de force, leurs intentions ne sont pas toujours bonnes. Jack préfère sa liberté à l'assurance d'une soupe chaude tous les soirs. Mais il y a cette Miss Blackman, qui n'est pas du tout comme les autres. Quand Mandy se retrouve prisonnière d'un fou furieux, Jack sait que Miss Blackman est son seul espoir. De 12 à 16 ans. Un roman contemporain où l'on retrouve toutes les émotions que l'on a pu ressentir en lisant  Sans famille  et les livres de Dickens.

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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