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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Michel Leydier

Les grandes Grandes Vacances T2 : Pris dans la tourmente (Michel Leydier, Emile Bravo)

5,50 €
Juin 1940, l'armée allemande approche de Grangeville. Ernest, Colette et leurs grands-parents doivent quitter la maison. C'est l'exode. Ils rejoignent des milliers de personnes fuyant l'ennemi. Mais les avions allemands attaquent, l'armée française s'affole… et les enfants sont séparés de leurs grands-parents ! Que vont-ils devenir au milieu de cette tourmente ? Dès 8 ans.

Les grandes Grandes Vacances T4 : Le vent de la liberté (Michel Leydier, Emile Bravo)

4,15 €
Automne 1943, les tensions sont de plus en plus fortes dans le petit village de Grangeville. La bande des Robinson, n'écoutant que son courage, aide la Résistance en faisant le relevé des positions allemandes le long de la côte. Monsieur Herpin, leur instituteur, s'avère être le chef de la Résistance de la Région. Quelques mois plus tard, enfin, le débarquement des alliés a lieu ! Le village attend d'être libéré. Mais la nervosité des Allemands s'accentue, provoquant des représailles terribles. Malgré tout, un vent de liberté souffle désormais et rien ne pourra l'arrêter. Dès 8 ans.

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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