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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Joachim Renez
  • Auteurs: Olaf Swenson

Au pays du renard blanc (Olaf Swenson) - Souvenirs d'un trafiquant de fourrures

5,80 €
Le Pays du Renard Blanc, c'est la Sibérie septentrionale, vaste étendue de toundras glacées, aux fleuves immenses, où les animaux à fourrure sont plus nombreux que partout au monde. La vie d'Olaf Swenson, fils d'un suédois émigré, s'est passée en allées et venues incessantes, de l'Alaska aux côtes sibériennes, par le détroit de Behring, pour assurer un commerce d'échange vital entre les Etats-Unis et cette région quasi désertique de la Russie d'Asie. Chacune des quarante années de sa carrière de trafiquant de fourrures a été fertile en aventures de toutes sortes : navigations dans les dangereuses mers arctiques, hivernages forcés, raids en traîneaux à chiens et à rennes, pittoresques collectes des fourrures et la chasse ! Son livre fourmille d'histoires étonnantes, où le pathétique le dispute sans cesse à l'humour, et qui mettent en relief le courage, la solidarité, l'énergie incroyable de ces coureurs des glaces autant que l'endurance et la résignation des Sibériens, pauvres et hospitaliers, perdus dans ce pays infernal. Les jeunes garçons et filles à partir de 10 ans, aimeront ce roman vécu du Grand Nord, plein d'émotion et de gaïté, dans lequel on sent passer le vent pur et salubre du pôle.

N° 1029 - La torture du délaissé (Joachim Renez)

3,05 €
Extrait : Les orgues entamèrent la marche nuptiale de Lohengrin et les mariés, suivis d'un nombreux cortège, descendirent l'escalier de l'Eglise de la Madeleine, dont les marches, recouvertes d'un immense tapis rouge, furent foulées par une assemblée élégante et aristocratique. La grande porte ouverte permettait aux bavards, assemblés devant les grilles, d'apercevoir les mille lumières des cierges ponctuant d'étoiles la pénombre qui envahissait l'ancien temple de la Victoire. Il était midi et les midinettes de ce quartier, où la grande couture et les modistes en renom tiennent leurs assises, écarquillaient les yeux, admirant et même critiquant avec ce sens aigu de la parisienne, pour le chic et l'élégance, tous ces heureux qui défilaient, papotant et avec des visages de fêtes, suivant les héros de cette cérémonie nuptiale…

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…

N° 1142 - Les amants tragiques (Joachim Renez)

3,05 €
Extrait : Dans la cellule n° 1 un homme est étendu sur sa couche que mouille une sueur d'agonie. Il ne dort pas ; il ne peut dormir. Les bruits vagues de la prison le tiennent en éveil. Ces rumeurs inaccoutumées présagent pour lui la venue de l'aube sinistre où il paiera la dette qu'un assassin doit payer à la société. La loi des hommes est dure ; cette fois elle frappe en aveugle. Tel a été le verdict des jurés. Cet homme a tué ? Il doit mourir ! Cependant, ce condamné n'était pas un homme méchant. Quels furent les mobiles de son crime ? L'amour. Eveillé, celui qui est encore Charles de Meuze ressasse les heures sinistres que depuis des mois il vit. Il écarte de son esprit toute cette agonie et se retrempe aux heures douces où il aimait et était aimé de Lionette…
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