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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Paul Gillon
Les Naufragés du Temps T7 : Le sceau de Beselek (Paul Gillon) - Les Humanoïdes Associés

Les Naufragés du Temps T7 : Le sceau de Beselek (Paul Gillon)

6,50 €
Chris le Voyageur poursuit son errance dans le temps et les dimensions, à la recherche de son amour sublime et sublimé, la superbe Valérie. Une errance qui met à mal son courage et son appétit pour la vie, à laquelle Chris n'a pas l'intention de renoncer ; quels que soient les ennemis, quels que soient les dangers, quelles que soient les femmes terrestres ou extraterrestres qui tenteront de le séduire. A noter une erreur dans la fabrication de cette BD puisque la couverture a été montée à l'envers. Elle se lit donc avec le 4e plat inversé face à soi, normalement de gauche à droite.
Les Naufragés du Temps T8 : Ortho-Mentas (Paul Gillon) - Les Humanoïdes Associés

Les Naufragés du Temps T8 : Ortho-Mentas (Paul Gillon)

6,50 €
Chris le Voyageur poursuit son errance dans le temps et les dimensions, à la recherche de son amour sublime et sublimé, la superbe Valérie. Une errance qui met à mal son courage et son appétit pour la vie, à laquelle Chris n'a pas l'intention de renoncer ; quels que soient les ennemis, quels que soient les dangers, quelles que soient les femmes terrestres ou extraterrestres qui tenteront de le séduire.
Les Léviathans T1 : Le plan Aspic (Paul Gillon) - Les Humanoïdes Associés

Les Léviathans T1 : Le plan Aspic (Paul Gillon)

7,50 €
Cette nuit-là, qu'elle soit stérile, qu'elle ignore les cris de joie ! Que la maudissent ceux qui maudissent les jours et sont prêts à réveiller LEVIATHAN ! II-3 Livre de Job
Rappelle-toi (Alexyanne) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1544

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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