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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Galila Ron-Feder
  • Auteurs: Raye Morgan
Les cendres du soleil (Raye Morgan) - Harlequin Duo N° 6
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N° 6 - Les cendres du soleil (Raye Morgan)

2,56 €
Les cendres du soleil (Raye Morgan) — Je vous désire, Carla, et je vous jure que j'arriverai à  mes fins. Carla est suffoquées. Comment cet homme qu'elle connaît à peine peut-il lui faire une proposition aussi directe ? Quelques jours plus tôt, elle a quitté précipitamment New York pour venir étudier la poterie au Japon, bien décidée à oublier une douloureuse rupture sentimentale. Et voilà que sa rencontre brutale avec Stephen Conners réveille en elle des sensations qu'elle croyait éteintes à jamais... Au coeur de ce pays envoûtant aux traditions millénaires, Stephen parviendra-t-il à convaincre Carla de la sincérité de son amour ? Saura-t-il lui prouver que le bonheur est encore possible ?
Cher moi-même (Galila Ron-Feder) - Castor Poche N° 424
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Cher moi-même (Galila Ron-Feder) - Castor Poche N° 424

2,74 €
Écrire pour soi-même ? Drôle d'idée ! C'est l'avis de Yoav, enfant de milieu défavorisé placé dans une famille d'accueil, les Sharoni, loin de son quartier de Haïfa et d ses tentations. Mais Mme Sharoni insiste et Yoav se prend vite au jeu. Récits cocasses et serments de vengeance, petits triomphes et gros chagrins, le journal recevra tout en vrac, jusqu'au jour où Yoav décide d'abandonner ce « Cher moi-même », il a une bien meilleure idée…

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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